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Enrênement pour un jeune cheval
Posté le 14/10/2009 à 17h53
je suis toujours émerveillé par les certitudes de chacun. Après plus de 50 ans de contact et de travail avec les chevaux, et, à un niveau honorable, je ne puis, sans voir le cheval donner de conseils aussi péremptoires. J'ai utilisé des enrênements lorsque celà s'averrait necessaire mais le plus souvent m'en passait. J'avais appris à monter, à me servir de mes mains pour
dialoguer avec le cheval et je dis bien dialoguer, car avec les mains suffisemment sensibles, le cheval de part son machouillement du mors des coups de langues qu'il y met me transmet une dose édifiante d'informations quant à sa capacité de concentration, sa forme psychologique. Bien sûr pour ceci il faut avoir des mains. Je ne dis qu'une seule chose à propos des enrênements, il faut savoir s'en servir, et surtout apprendre à ne s'en servir qu'en cas de besoin absolu mettant en danger l'intégrité physique du cheval.