D'après ce que tu décris, il ne cherche pas comme le préconise sa méthode actuelle (et non ancienne) à visualiser les tissus de la fourchette.
Tu dis qu'il ne faut que très peu parer la fourchette, mais cette dernière pousse comme le reste et doit s'user.
Si il ne travaille pas correctement la fourchette, il ne peut chercher la bonne hauteur des talons.
Tu dis sans invasion, donc à mon avis, il ne peut chercher un axe correcte pour les barres puisque il se refuse à toucher la sole. Si il descend les talons, il provoque des zones de souffrance dans le pied.
Enfin, comme tu ne précises pas, je suppose simplement.
Il est donc dans un cercle vicieux.
Dans le parage, il n'y a pas de généralité, un pareur qui dit qu'il ne faut jamais toucher la fourchette, ni la sole, est un mauvais pareur, qui il laisse le cheval dans sa souffrance par idéologie non fondée.
L'idée même de dire que de toucher la sole provoque la sensibilité du cheval est une grossière erreur. Si on pare la sole sur une zone précise, c'est juste pour éviter la sensibilité du cheval.
Mais je ne dis pas que c'est son cas, je constate que ce que tu dis, confirmes ma pensée, mais c'est à confirmer.
Il y a pas longtemps, j'ai repis un cas paré un autre membre du jury de l'AFPN:
http://chevaux-en-vacances.forumactif.ws/orthopedie-et-soins-des-sabots-f6/les-pieds-de-lala-t1771.htm
L'idéologie qui consite à ne jamais parer la sole a fait que les pieds de cette jument étaient tellement contractées, que la croissance du pied était entravée.
D'ailleurs, les maréchaux avec un parage dit classqiue, ont tous fait exactement la même chose, c'est à dire pas grand chose. Et des exemples comme celui la, on en trouve des dizaines.
Pour cela qu'il faut parler technique précise car j'ai fait à une émoque de la publicité à tous ces pareurs, aujourd hui, ils me déçoivent pour la plupart, à croire qu'ils ont perdu l'intérêt qu'ils avaient pour ce métier.