kmty a écrit le 19/12/2009 à 19h47: |
| | je vois que tu es tjr aussi diplomate toi, toujours aussi sur de toi et imbu de ta ptite personne ... |
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Mais non, Kmty, ce n'est pas Quim37 qui nous parle ^^ C'est sa copine en deuxième année de BPJEPS qui utilise son compte...
(Comment ça, je suis perfide ? )
Bref, il n'en reste pas moins que l'échange de compte est interdit, il me semble...
Alors ou bien Quim37 n'assume pas ses règlements de compte et se crée une amie factice sur qui elle pourra rejeter la faute, ou bien son amie est réelle et n'ose pas créer son propre compte ici pour me balancer mes quatre vérités.
Quand on veut être méchant et méprisant avec les autres (car parler de "petit galop 4", surtout de la part d'une
future mono, c'est du mépris), il faut savoir assumer les conséquences qui en découlent.
Pour en revenir au sujet, je pense que le club reste un incontournable pour tout cavalier... À condition de bien le choisir ! Et heureusement, il y a de plus en plus de moyens pour échanger les avis.
De plus en plus de clubs ont leur site web, et il suffit de faire une visite aux journées de grosses affluence (mercredi et samedi) pour voir directement comment est géré le centre équestre.
Est-ce que les moniteurs perdent leur calme dès qu'ils ont un peu de retard à cause d'élèves pas dégourdis qui n'arrivaient pas à mettre le filet (ou n'importe quelle autre raison) ? Est-ce que les chevaux enchaînent trois heures d'affilée ? Donne-t-on à boire aux chevaux entre deux cours s'ils sont réutilisés ?
Les moniteurs sont-ils attentifs à leurs élèves ? Sont-ils trop laxistes ou encourageants même si l'exercice a été mal fait ? Ou sont-ils au contraire trop durs en exigeant la perfection, quitte à casser méchamment l'élève devant tout le monde (ce qui est encore un moindre mal comparé au moniteur trop laxiste) ?
Le moniteur bouge-t-il dans la carrière en expliquant les exercices par le biais d'imitations à pied ? Ou reste-t-il planté sur un plot à gueuler comme un putois après les élèves ?
Comment se passe la détente ? Est-elle logique (variations d'allures, variations de vitesses dans l'allure, précision des demandes d'arrêt, de pas ou de trot) ? Ou est-elle routinière (pas, trot, figures de manège de temps en temps pour réveiller le cheval qui s'ennuie déjà...) ?
Bref, déjà rien que ces questions-là, on peut y trouver des réponses en allant observer les cours les mercredis et samedis après-midi.
Après, il suffit de regarder l'attitude générale des chevaux (si 5 chevaux sur 7 ont des enrênements, autant fuir de suite ; un enrênement par-ci par-là, on peut tolérer, mais si tous les chevaux sont ligotés, c'est qu'il y a de l'enrênement abusif), ainsi que relever certaines choses chez les cavaliers comme les genoux, le bas de jambe, les mains et le dos des cavaliers (de préférence ceux d'un niveau Galop 4).
Leur façon de monter sera représentative de la qualité de l'enseignement.