Elevage de Prade - P.G.E.

c'est bien ça le probleme! je l'ai monté pendant la gestation de junon, il n'a jamais essayé! a peine un petit de joie a un demarrage au galop mais jamais comme il lui fait!
et il a mis en l'air fin aout une copine qui a un bon niveau, saut de mouton-demi tour-saut de mouton est redoutable...mais bon moi j'y ai jamais eu droit!!

LOL papy fait de la résistance

weydmann a écrit le 24/09/2012 à 21h21: LOL papy fait de la résistance

trop mdr!!!!

Pas cool, en même temps je la comprend, elle veux se faire plaisir pas se faire peur ou mal. Si en plus il n'y a rien de physique, que c'est juste de la "bêtise" c'est pas évident à gérer...

Pour en revenir au BPjeps, c'est claire qu'il y a un vrais problème...qui va s'empirer avec une partie de la réforme des galops... Les sauteurs ne seront plus faire une EDD et les dresseur ne seront plus sauté un croisillon...Le seul point positif que je trouve c'est la partie travail à pied. Mais encore faut il que les enseignants face travailler cette partie lors des stages...

Mais heureusement j'ai mon petit Loan le mercredi avec qui je dress, bon je saute aussi, mais à 10 ans c'est bien d'aimé faire les 2 et de sortir en concours dans les 2 disciplines. Et en plus il est éduqué avec de bonne valeur.

Votre constat sur le niveau actuel de l'équitation je le partage , et c'est qui m'a fait abandonner cette activité , l'édito du dernier Eperon résume bien cet état de fait .Notre grande fédé a transformé un art/sport en pur commerce , où tout est bon pour faire du nombre même renier les fondamentaux ...
je vois sur le terrain ce que sont les Bpjeps , le niveau des pré-requis d'entrée sont terrifiants

Nanou , l'alezane n'a rien à voir avec Brindille , c'est la soeur d'Atome et Birdy , mais on peut s'y tromper vu la robe et le blanc et l'attitude sur la photo en rapelle effectivement une autre

c 'est clair qu'il faut revoir un tas de chose concernant la federation d'équitation , le fric tue ce sport , quand je vois le prix des engagements pour faire un simple préparatoire et quand prime tu n'as meme plus de gains ou bout c'est juste demoralisant
dans mon CE l' instrution des élèves en formation est vraiment très sérieuse mais quand on vois que les jeunes des qu'il faut faire plus de 35h commence à se plaindre de ceci de cela moi ça me rend dingue , ils ont aucunes motivations font leurs heures et s'en vont
il y a tellement de truc qui tourne pas rond m'enfin bon je sais pourquoi comme Anne j'ai abandonnée cette voie meme si aujourd'hui j'en suis malheureuse .

coucou le PGE,
comme je l'ai expliqué à Nelly en MP, les choses de la vie font que je me suis faite rare sur le post, même si j'essaie de vous suivre.
Côté bestioles, tout le monde va bien et , promis, j'essaierai de faire de nouvelles photos du gros bébé. c'est pour lui que je reviens vers vous : comment gérer le sevrage ??
Sachant que je n'ai pas d'autre jeune à mettre avec lui, ni d'installations assez sécurisées pour l'isoler, j'ai deux solutions :
1/ Le mettre en pension, un mois disons, dans les écuries où il est né. il serait avec leur poulain, né de l'année aussi. Mais un mois sera t il suffisant pour qu'il ne se remette pas à téter à son retour ? En plus ils veulent sevrer le leur assez tôt (moins de 6 mois), cela ferait 5 pour Tili et je trouve ça trop jeune. J'ai négocié un sevrage après les vacances de la Toussaint, donc il aurait tout juste 6 mois.
2/ Le sevrage "naturel" en laissant la mère gérer la chose. Elle est pleine et je trouve la mamelle bien moins grosse qu'avant donc doit commencer à tarir. Je suis assez tentée par cette solution, tant d'un point de vue idéologique que pécunier et pratique (pas de transport personnel) mais je crains d'avoir un poulain "collé" à vie à sa mère, du genre qui hurle dès qu'il n'est plus avec sa famille. En même temps, Tili est très indépendant pour son âge (4 mois), il me suit dans les prés volontiers sans se préoccuper de sa mère.
J'attends vos avis avec impatience.

Sinon pour reprendre le cours de vos conversations, je trouve dommage qu'Anémone ou Barbara, vous ayez abandonné la voie de l'enseignement. Vous auriez relevé le niveau général et apporté la bonne parole aux générations futures.Comment voulez vous que les cavaliers débutants deviennent des hommes de chevaux s'ils ont des enseignants de m.. ? C'est un cercle vicieux !!

je vous embrasse tous et j'espère à bientôt !

cyriline a écrit le 24/09/2012 à 21h41: trop mdr!!!! Pas cool, en même temps je la comprend, elle veux se faire plaisir pas se faire peur ou mal. Si en plus il n'y a rien de physique, que c'est juste de la "bêtise" c'est pas évident à gérer... Pour en revenir au BPjeps, c'est claire qu'il y a un vrais problème...qui va s'empirer avec une partie de la réforme des galops... Les sauteurs ne seront plus faire une EDD et les dresseur ne seront plus sauté un croisillon...Le seul point positif que je trouve c'est la partie travail à pied. Mais encore faut il que les enseignants face travailler cette partie lors des stages... Mais heureusement j'ai mon petit Loan le mercredi avec qui je dress, bon je saute aussi, mais à 10 ans c'est bien d'aimé faire les 2 et de sortir en concours dans les 2 disciplines. Et en plus il est éduqué avec de bonne valeur.

quand ma fille a fait sa formation une des élèves était galop 2 elle ne savait même pas sauter correctement je doute fort qu'elle est eu le nivau voulu en fin de formation heureusement elle a abandonné juste avant le passage du diplome

Julia, c'est pas simple d'être motiver et de s'investir, cela peu vite tourner à "l'exploitation". Tu sais partout où j'ai été il fallait toujours en faire plus, pas payé plus (ou peu d'avantage en nature) et pas forcément de reconnaissance, a part celle des clients éventuellement.
Je le subi encore maintenant. Il est prévu que je fasse une animation par mois le dimanche. Mes animations sont prévu jusque décembre, et là elle voudrait que j'organise un challenge dress/cso, donc passer à 2 dimanches. C'est pas possible pour moi, j'ai d'autre priorité et je compte bien lui rappeler que cela n'étais pas prévu, qu'il faut qu'elle fasse un choix... Pour ne pas se démoraliser il faut avoir le caractère de s’imposer et de respecter ses valeurs équestre. Pas facile quand on est jeune dans le métier. Et une fois que l'on a acquis cette expérience, il faut que le salaire suive, mais aussi l'ensemble de notre vie...Il n'est pas évident de trouver cet équilibre. Franchement si je pouvais, je retournerais bosser chez mon ami céréalier éleveur.Là l'équilibre se retrouve plus facilement, puisqu'il y a moins de rivalité dans le domaine. Il aimerait beaucoup que je revienne, me l'a proposer encore lorsque je l'ais accompagné à Fontainebleau, mais il est vraiment trop loin...

Stef, pour le sevrage je pratique le "naturel". Valtina a été sevré comme ça, et justement elle était beaucoup plus proche de Reldene que de sa propre mère. Audin et Aquénée on été sevré à peu prêt pareil, mais comme les juments n'étaient pas pleine, il a fallut que vers 10 mois on enlève les poulains, pour leur laisser un peu de répits avant la prochaine saillie. Aucun problème, autant pour les mères que pour les bébés. Juste il faut très bien alimenté les mères pendant l'hivers vu qu'elles sont encore allaitante. Je ne sais pas si cela joue, mais je n'ais pas eu de poulain qui perdaient d'état à se moment délicat de leur vie, n'y même par la suite d'ailleurs.

Contente de te relire Stéfanie, j'espère que tu vas bien.
Je pense que dans ton cas le plus simple est de laisser le sevrage se faire naturellement parce qu'un mois de séparation risque d'être juste.
Je n'aime pas trop laisser les poulains à la mamelle quand la jument est de nouveau pleine, mais les choses vont se faire toutes seules.
Et non, c'est gentil de parler de moi, mais je n'ai jamais passé le monitorat même si ça m'aurait attiré nettement plus que les études de pharmacie!

J'adore la dernière photo de Cook, il est très beau.

Tes loulous ont l'air perturbés du sevrage Anne, ça se voit!
C'est Clipper en arrière-plan sur la première, j'adore! Toujours aussi chic!

Bon courage à la propriétaire de Printemps, ils savent à qui ils ont affaire les loulous!
Autant un petit enrênement marche très bien pour les empêcher de se cabrer, je ne vois rien non plus pour contrer les sauts de mouton et les demi-tours...

pour répondre à Stef : j'ai enseigné pendant 6 ans chez moi ( et plusieurs années ailleurs avant, de manière intermittente) , sans compter mes heures , en essayant d'apprendre réellement l'équitation aux jeunes et aux moins jeunes , en particulier leur apprendre le travail juste du cheval et leur donner des sensations , enfin du genre d'enseignement qui est incompatible avec le fait de galoper en ballade dès la 1ère séance , ou d'aller en compet E4 au bout de 2 mois de pratique , ( qui sont les consignes commerciales de la Fédé , purement vrai ), mais sur le terrain tu n'es pas tout seul dans ton club , tu as des collègues moins puristes tout autour de chez toi , qui accueillent à bras ouverts les cavaliers avec un discours à l'opposé du tien , facilité , loisirs , Lamotte etc c'est bien plus facile à vendre !!!

Quant au sevrage , si tu ne peux pas séparer Chantili et sa mère plus longtemps que 1 mois , çà ne marchera pas , le sevrage naturel , pourquoi pas , mais tu auras effectivement toujours le problème de séparation un jour ou l'autre .Pas faisable partout , mais le sevrage "brutal" ( çà ne veut rien dire ) en groupe , c'est l'idéal , et çà passe vraiment sans problème .

cyriline a écrit le 25/09/2012 à 09h54: Julia, c'est pas simple d'être motiver et de s'investir, cela peu vite tourner à "l'exploitation". Tu sais partout où j'ai été il fallait toujours en faire plus, pas payé plus (ou peu d'avantage en nature) et pas forcément de reconnaissance, a part celle des clients éventuellement. Je le subi encore maintenant. Il est prévu que je fasse une animation par mois le dimanche. Mes animations sont prévu jusque décembre, et là elle voudrait que j'organise un challenge dress/cso, donc passher à 2 dimanches. C'est pas possible pour moi, j'ai d'autre priorité et je compte bien lui rappeler que cela n'étais pas prévu, qu'il faut qu'elle fasse un choix... Pour ne pas se démoraliser il faut avoir le caractère de s’imposer et de respecter ses valeurs équestre. Pas facile quand on est jeune dans le métier. Et une fois que l'on a acquis cette expérience, il faut que le salaire suive, mais aussi l'ensemble de notre vie...Il n'est pas évident de trouver cet équilibre. Franchement si je pouvais, je retournerais bosser chez mon ami céréalier éleveur.Là l'équilibre se retrouve plus facilement, puisqu'il y a moins de rivalité dans le domaine. Il aimerait beaucoup que je revienne, me l'a proposer encore lorsque je l'ais accompagné à Fontainebleau, mais il est vraiment trop loin... Stef, pour le sevrage je pratique le "naturel". Valtina a été sevré comme ça, et justement elle était beaucoup plus proche de Reldene que de sa propre mère. Audin et Aquénée on été sevré à peu prêt pareil, mais comme les juments n'étaient pas pleine, i.l a fallut que vers 10 mois on enlève les poulains, pour leur laisser un peu de répits avant la prochaine saillie. Aucun problème, autant pour les mères que pour les bébés. Juste il faut très bien alimenté les mères pendant l'hivers vu qu'elles sont encore allaitante. Je ne sais pas si cela joue, mais je n'ais pas eu de poulain qui perdaient d'état à se moment délicat de leur vie, n'y même par la suite d'ailleurs.

Madeline, je suis d une nature intransigeante lol pour moi le métier du cheval est un métier dur physiquement et parfois moralement certe , il y a bon nombre d écurie ou club ou le sur exploitation est de mise je l ai malheureusement vécue .
je que je veut dire par la c est qu' afin de préparer au mieux les élèves moniteurs il faut qu ils vivent ce genre d expériences pour voir la réalité de leur futur métier .
Il va de soit qu il faut un véritable caractère pour poser ses conditions et ne pas se laisser exploiter mais je trouve ça formateur pour eux de vivre cela au moins sur 1ou 2 années de formant .
Ce métier n est pas le monde des bisounours lol
apres libre à eux de gerer leur vie professionnelle comme il le souhaite après avoir obtenu le diplôme .

Steph je peut pas t aider pour le sevrage mais j attend avec impatience les futurs photo du beau chantilly

Je suis d'accord que se genre de formation est importante pour que l'élève comprenne bien que pour travailler avec du vivant il ne faut pas compter les heures. Mais je suis pour le donnant/donnant. Quand tu es élève moniteur, que tu passe tes journées, tes week end sur le CE... Si tu as un cheval on ne te fait pas payé une pension complète, on te fait progresser à cheval ect...En échange l'élève bosse un max et s'investi. Quand il n'y a pas d'échange, il ne peu pas il y avoir d'investissement personnel. Et ça malheureusement c'est bien plus la réalité.
On le vois bien avec notre apprenti en maréchalerie. Lorsqu'on prend soins de les formé, les sensibiliser, les intéresser... ils prennent plaisir à faire les choses et s'investissent. Et c'est valable dans tout les domaines!

Et puis, comme l'a souligné Anne, cette rivalité entre les club, dont je parlais plus haut, cette course au profit, rend les clients consommateur, et non plus acteur de se sport...

MB:Bien! Madeline je vois que mentalement tu es prête pour te mettre à ton compte.Je pense que tu réussirais très bien.
Qui va à St Lô?

un coucou de passage!

et bah ça a papoté sur le PGE. Rien a rajouter sur le nouveau BPJEPS à part que je ne saisis toujours pas comment on peut diplomer un élève et qui a le droit d'enseigner des choses qu'il ne maitrise pas lui meme (l'ouverture de la formation au galop 6, et encore, si le mot "galop" est encore une marque quelconque de qualité et non pas un outil marketing du "cheval c'est trop génial).

De mémoire, quand je faisais du judo, le prof pouvait enseigner s'il était ceinture noire. Et la ceinture noire, on ne la gagnait pas en faisant le pitre sur un tatami devant son coach, il fallait enchainer les tournois et un certains nombres de victoires. Au moins, quand il apprenait des techniques ou des prises, c'était pas des paroles en l'air, c'était maitrisé...

Sinon, Lana est trop belle, ça pousse!

Stef, un mois ça va faire court... moi je pratique plutot le sevrage "brutal": j'enlève les mamans quand les bébés sont en train de manger. Cette année, ça sera surement plus tot que prévu: Cayenne a besoin d'avoir de vraies rations et vu qua sa goulue de mère se dépèche de manger pour finir les autres gamelles... pas évident.
Mais dans ton cas, je ne vois pas comment tu peux faire à moins que de le laisser en pension une bonne partie de l'hiver.
Laisser Palo le sevrer, pourquoi pas, si elle ne perd pas trop d'état. Je ne pense pas que toutes les juments peuvent allaiter jusq'à presque la mise bas suivante. Dans les bovins, on conseille minimum 40 jours de sevrage pour préparer la naissance mais le mieux c'est 3 mois de tarissement...

MB:Nouveau débouché pour les chevaux qui aiment galoper dans l'eau:L'équi-surf.ça à l'air pas mal.