|  | un mors assez dure franchement je ne sais pas ce que c'est,maintenant avant d'utilser un lopez puisqu'il s'agis d'un lopez je passe toujours par une serie de mors.maintenant pour donner une image du lopez,il est aussi violent qu'un mors lhotte appeler aussi mors a pompe,c'est celui que vous utilisez en bride.maintenant expliquez moi la difference du meme systheme de mors avec la meme longueur de branche sensiblement le meme passage de langue.concernant la certitude de quoid l'on parle,socrate a dit que je fais ce qui est juste parceque je sais que c'est juste,on a une certitude mesure de ce que l'on sais au dela de cette certitude,le doute subsiste toujours la chose dont je suis sure c'est que cette jeune personne qui veus rassembler un cheval et qui pretant apprendre a arrete un cheval apres un obstacle a coup de demie arret n'est pas prette de le faire,pas assez d'experience et ca m'etonnerais cher saphy que vous puissiez me contredire puisque vous meme vous vous en etes offusque,avec un peus plus de tact certes. |
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Je suis tout à fait d'accord avec vous sur le fait que cette fille voit l'équitation d'une manière...comment dire...bizarre! Et vous noterez que je vous ai pas reproché le fait d'avoir était un peu dur dans vos propos, car moi aussi je l'ai été avec elle sur l'autre post, ce qui est sûr et que l'on peut affirmer aisément et tous les cavaliers seront d'accord c'est que préconiser de mettre "de grands coups dans la bouche du cheval" n'est pas tolérable et c'est une évidence, une évidence telle que le ciel est bleu!
Je vous ai juste reproché le fait d'affirmer avec une certaine assurance que vous saviez de quoi vous parliez.
Pour ce qui est du mors, en bride l'on utilise deux mors combinés à a fois, et le fait d'être branché sur le mors de bride n'est pas bon, alors si le seul mors qui est déjà dur en utilisation de la bride reste seul dans la bouche du cheval, je pense que cela augmente sa dureté même avec une très bonne main!!
(PS: je ne comprends pas l'utilisation de cette citation de Socrate car il parlait du caractère sacré des lois lorsqu'il fut condamné à boire la cigüe après un jugement douteux de la part des hommes mais qu'il n'a pu contester car les lois viennent des Dieux et ne peuvent être remises en causes: cf La Prosopopée des Lois de Platon)