soffad a écrit le 26/12/2008 à 23h34: |
| | Je ne peux qu'admirer tres sincèrement ce que tu fais...l'âge c'est pas un problème mais le naviculaire s'en est un !!
On peut y remédier d'une certaine manière je crois avec un ferrage spécial...
que fait il exactement..quelques ballades ou plus rien ?
J'ai du respect pour ce que tu fais...et que d'autres que toi font dans des cas similaires...
Tiens moi de temps en temps au courant !! |
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Le véto m'a fait une ordonnance pour une ferrure à oignons aux deux antérieurs avec une pince la plus courte possible.
Il repasse le voir dans quelques semaines et selon l'évolution, il m'a proposé un traitement dont, bien évidemment j'ai oublié le nom sous le coup de l'émotion, onéreux mais qui retarde l'évolution de la maladie.
Sinon, avec lui, je ne faisais que du plat en (bonne) carrière et des balades. Quand il sautait, ce n'était pas avec moi (je n'y arrive plus, trop la trouille!), mais avec les gamines du club à qui je le prêtais. Mais, le véto m'a dit qu'il ne fallait plus du tout le faire sauter.
Bien évidemment, j'ai des dizaines de questions que j'ai oublié de poser au véto hier (ces questions qui viennent au fur et à mesure dans la nuit...). Je vais essayer de prendre les choses dans l'ordre : Appeler le maréchal dans la mâtinée pour prendre rv, surveiller chaque jour comment il se déplace et rappeler le véto en fonction.
J'ai passé la soirée à lire des trucs sur le net sur le syndrome naviculaire et ai retrouvé fréquemment la même chose : travailler le cheval (s'il le peut) sur de bons sols pas trop mous et surtout en ligne droite.
Après, si rien ne marche, ni la ferrure, ni le traitement... ben... retraite.. Avec antalgiques pour éviter qu'il n'ait mal.
Merci Soffad de prendre des nouvelles... Cette bestiole, c'est vraiment un cheval à sa mémère-qui-en-est-gâteuse-et-qui-s'inquiète... Là, je suis un peu abattue, mais j'essaie de ne pas me faire de trop mauvais trips avant d'avoir fait tout le nécessaire.
J'ai une chance sur deux qu'il ne soit pas foutu. J'espère pouvoir saisir cette chance.
"Alea jacta est" comme disait Jules...