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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 21/01/2019 à 12h14
cymoril
Posté le 21/01/2019 à 12h14
Dimanche et comme chaque dimanche, je pars en forêt naïvement. Oubliant comme à chaque fois que le dimanche, c'est raviolis de chevreuil!
Cette fois c'est encore mieux que d'habitude, non seulement on a le concert complet, coups de feu, chiens, coups de tsoin tsoin ... mais en plus une vraie procession de camionnettes de nos amis les chasseurs garés juste devant l'entrée de la foret, et tous les gus plantés à côté en tenues de samouraïs des bois en train de ... contempler le vide de l'existence?
Bref, avec tout ça, poney pas rassuré, moi je me disais que c'était peut être quand même pas l'idée du siècle d'insister ce jour là, je décide d'aller plutôt dans les chemins côté campagne (pas génial, j'avais pas prévu les boots, on ne peut faire qu'un aller-retour, et on avait le vent en pleine gueule ... mais bon que voulez vous, humble cavalière, que suis je face à une procession de grands sages régulateurs de l'éco système forestier).
Je passe donc à côté du rassemblement des grands sages après 5 minutes à discuter avec poney qui n'avait pas franchement envie de s'approcher des grosses taches oranges.
Et non contents de me pourrir les oreilles et me faire (encore) modifier tout mon itinéraire, j'ai un gros gus qui se fend d'une pointe d'humour : "haha, le cheval il a perdu sa cavalière??" (nota : j'étais à pied, heureusement vu le boucan et l'état émotionnel de la bestiole)
Vous vous en doutez, l'humour fin et ravageur de Mimille le chasseur a encore frappé, on s'est bien fendu la poire, heureusement qu'ils sont là pour nous amuser quand même, on s’ennuierait!