C'est le mauvais côté de la démocratisation de l'équitation. (ça se dit ?
)
Le bon, c'est qu'on n'a plus besoin d'appartenir à de riches familles pour pouvoir apprendre à monter (ou au moins tenir) à cheval.
Après, ça reste la liberté de chacun de vouloir voir ça comme un sport, un loisir sans trop se prendre la tête, un contact avec l'animal, ou un art.
Le soucis c'est que si vraiment on veut apprendre à monter comme ce type de personne (B. Drummond, P. Karl) bin... pour le coup c'est archi refermé comme monde. Trouver le bon instructeur, élève de machin bidule truc qui en plus d'être bon cavalier est bon pédagogue, sans avoir à débourser un mois de salaire pour une séance d'une heure...