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Le gogue : incitation à tirer?
Posté le 02/06/2011 à 11h50
Et bien, pour que l'enrênement garde son utilité il faut que ce soit occassionnel. Quand je travaille ma jument avec un enrênement, j'alterne. Gogue, élastique, rênes allemandes...
Mais surtout il faut y aller progressivement. L'intérêt des enrênements n'est pas de forcer le cheval, mais de lui indiquer, ou de lui donner un cadre à ne pas dépasser. Liberté surveillée en quelque sorte.
Il faut aussi y aller progressivement. Personnellement quand je monte avec un gogue, je commence ma détente sans. Puis je le met assez lâche et détend gentiment, en veillant bien à ce qu'elle ne passe pas derrière et reste mobile dans son encolure, sa mâchoire. Ensuite, si besoin, je le re règle en foonction de ce que je veux travailler. L'avoir stable devant permet au cavalier de soigner sa position, son équitation. Mieux le cavalier monte, plus il est stable, en équilibre, donc plus le chevaul s'équilibre et moins l'enrênement est utile !
Je finis toujours la séance par un des exercices déjà travaillé mais sans l'enrênement, puis je la laisse s'étendre tranquillement.