Bonsoir, et ben moi, balade d'une heure trente cette aprèm...
Pour commencer, prise de tête avec une passerelle.
Elle est plus facile à prendre dans un sens que dans l'autre pour 2 raisons :
1. Psychologique = ça va mieux quand c'est dans le sens = retour à la maison)
2. Visuelle = dans le sens retour maison, l'abord est une trouée dans la végétation arborée de la rive de la rivière. Dans l'autre = sens départ en balade - l'abord est très dégagé et il y a une rampe béton en pente style pont de van ou slip (pour ceux qui ont aussi fait de la voile) très en amont de la berge puis passerelle en traverses de chemin de fer (refaite à neuf) qui résonnent et pas large (1 m maxi).
Donc à l'aller, pour ne pas me fâcher dès le départ (5min du parc), je l'ai passée à pied après l'avoir tentée à cheval.
Et le retour, il me l'a fait nickel. Je suis donc encore plus vexée qu'il ne la passe pas à l'aller
Donc je refais demi tour et retente dans l'autre sens. Comme il est très buté, je redescends et le fait brouter de l'autre côté. Je remonte, repasse la passerelle à cheval dans le sens facile et rebelote, ça marche toujours pas. Monsieur se fâche, moi je commence à monter en pression.
Mais comme il commence à faire le cake et recule de travers sur la pente en béton, on risque de se vautrer en bas de la pente, je redescends et le refais brouter de l'autre côté. Et je repasse à cheval dans le sens facile. Et on recommence.
Et là, Monsieur fait mine de se pointer. Je deviens
et lui mets une gifle en me penchant sur le côté.
Monsieur, vexé, passe sans rechigner dans le sens difficile avec moi dessus... Je ne sais que penser... Pourquoi est-ce des fois en se fâchant qu'on obtient certaines choses, comme avec les gosses ???
partagée en la satisfaction d'avoir passé la passerelle à cheval dans les deux sens et triste d'avoir eu le besoin de me fâcher (c'était bien du foutage de g*)
Désolée pour le pavé mais ça soulage...