Hello Gwen,
Je comprends ce que tu décris et je pense que ce qui est regretté, ce n'est pas ce que tu décris (des soins et des infrastructures au top, par exemple), mais d'autres choses qui font aussi partie du monde des courses, et des courses de trot.
Je te donne deux exemples, et je reste ouverte au dialogue et à ton avis
:
- L'enrênement releveur qui empêche le trotteur de baisser la tête et de tomber dans le galop. On le voit souvent réglé assez ajusté, avec des chevaux qui semblent avoir l'encolure à l'envers sur toute une course. Je suppose qu'il s'agit pour eux au minimum d'une vraie gêne sur le moment voire à moyen terme (colonne vertébrale, musculation).
- La filière d'élevage des chevaux de courses repose en partie sur la mise au monde de nombreux poulains, afin de sélectionner parmi ceux-ci les plus performants qui iront sur le circuit des courses. Il y a donc de nombreux rebuts au stade de poulain et à l'entraînement. Il y a ensuite d'autres rebuts que sont les réformés de courses.
Une question qui dérange, pour moi, reste : que faisons-nous de ces nombreux rebuts?
A+