|  | moi je crois que c'est definitif je comprendrais jamais les mecs.. je suis celibataire pour longtemps je pense
je me concidere pas comme trop horrible, potable quoi, je suis pas idiote , on peut me sortir normalement je fais pas honte, lol; je ne bois pas, je ne fume pas, j'eleve des chevaux de sport mais je bosse a coté, je suis pas fénéante, alors c'est quoi qui va pas les mecs?? je suis trop exigente a penser que c'est a vous d'au moins inviter?? genre faire le premier pas ça va pas vous tuer non? je demande pas un truc de dingue mais genre boire un verre, un resto c'est possible ça ou pas?? lol
non mais sans deconner...quand je pense qu'en plus je suis meme pas porté sur le physique, ok faut pas se degouter non plus mais franchement je regarde vraiment pas que ça!
en fait faut vraiment vous sauter dessus quoi sinon y a rien qui se passe?
c'est deprimant car moi je serais jamais capable de faire ça je suis timide et en plus j'ai peur de souffrir donc penser prendre un rateau c'est meme pas la peine! par contre je sais pas moi, mais faut faire comment pour que vous compreniez clairement qu'on est open?? (hors se mettre a poil et vous sauter dessus ou vous dire des trucs cochons car ça non plus je sais pas faire..aie)
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Salut Fanny,
Je me permets de mettre mon avis de mec à ce message plein de désolation
Tu sais, les mecs peuvent eux aussi être sensibles, et incapables d'être entreprenant, redoutant (bêtement) d'avoir mal (oui, je parle de moi, mais je ne suis pas un cas unique), tout comme toi.
Quand le feeling passe, et qu'une fille me plait, alors un climat de complicité et de la patience qui doit s'installer. Bon, mon soucis, c'est de ne pas être assez entreprenant, car, autant oui, inviter à un resto/bar/spectacle/ciné/… ne me pose pas de soucis, autant si la personne en face de moi reste froide comme un éperon l'hiver, je serai parfaitement incapable d'avancer.
En fait, le plus simple n'est-il pas de faire un pas après l'autre?
Bonne chance

, n'oublie pas ça: nous ne sommes pas/plus plus fort que vous, sentimentalement, quand on a un gros cœur… un cœur qui a lui aussi pu connaitre des peines identiques au tien, voire pire