Voilà, Je reformule mon post
Alors voilà après avoir étudié le roman "Thérèse Raquin" D'Emile Zola en classe, nous avons vu le film "Thérèse Raquin" de Marcel Carné, inspiré du célèbre roman. A la suite de ca, nous avons une critique de film à faire, que j'ai bien entendue faite mais, j'aimerais bien que quelques personnes me donnent leurs avis à son sujet car, elle doit être "professionnelle" selon ma prof... Merci d'avance
Consigne:
-A la manière d'un critique cinématographique, rédigez la critique du film de Marcel Carné.
Votre travail devra comprendre:
-Une présentation du film (titre-rééalisateur-date-acteurs principaux-durée-résumé...)
-Trois arguments développés qui exprimeront votre point de vue sur le film.
Pour vous aider, vous pouvez consulter le site internet suivant:
http://www.marcel-carne.com/les-films-de-marcel-carne/1953-therese-raquin/fiche-technique-synopsis-revue-de-presse/
-Vous veillerez à la présentation et à la qualité de la langue (n'oubliez pas que vous êtes un critique). Votre travail pourra être dactylographié.
Ma critique:
Thérèse Raquin, film du réalisateur Marcel Carné, sorti dans les salles du Moulin Rouge; en Normandie et Rex, le 6 Novembre 1953 est une production, inspirée du célèbre roman D’Émile Zola. Comprenant parmi ses acteurs principaux Simone Signoret dans le rôle de Thérèse Raquin, Raf Vallon dans celui de Laurent, Jacques Duby dans celui de Camille Raquin et enfin, Roland Lesaffre dans le rôle du marin/maître-chanteur; ce film de 1H45min, qui s'annonçait plutôt intéressant avec ses acteurs de «légende» s'est tout compte fait avéré décevant...
Thérèse Raquin (Simone Signoret) et Camille Raquin (Jacques Duby), sont un jeune couple vivant dans le Rhône avec Mme Raquin, mère de Camille et tante de Thérèse, Le mariage, étant devenu ennuyeux pour Thérèse, cette dernière, se laisse séduire par Laurent (Raf Vallon), homme d'origine Italienne et au caractère sanguin, robuste et musclé; contrairement à Camille, qui lui est un homme de piètre envergure, toujours malade et «gringalet». Après avoir appris le passage à l'acte d'adultère de Thérèse par Laurent, Camille, décide «d'éduquer» sa compagne en l'emmenant en voyage à Paris et en la plaçant sous la surveillance de «parents» sûrs. Averti par le projet de Camille, Laurent prend le train déjà occupé par le jeune couple. Dans le couloir du wagon, L'amant et le mari trompé se disputent violemment; à l'issue de cette altercation, Camille, poussé par Laurent est écrasé par un train venant en sens inverse.
Thérèse est soupçonnée; toutefois, faute de preuves, elle n'est pas inquiétée. Mais, la présence d'un marin, témoin de la scène va tout bouleverser en faisant «chanter» les amants et ainsi faire prendre une tournure dramatique a ce crime «presque parfait»...
Ici, Marcel Carné à cherché a «réécrire» ou plutôt «reformuler» le roman de Thérèse Raquin D’Émile Zola. En prenant comme personnages, des acteurs de «légende» comme Simone Signoret, Dans cette adaptation du roman de Zola, Marcel Carné, plus que chercher à être fidèle aux caractères des protaganistes de Zola, a cherché à mettre l'accent sur l'intrigue policière. Malgré la distribution des rôles à des acteurs de renommée comme Simone Signoret, le film n'est pas convainquant; le réalisateur a «placé la barre haute»... J'ai trouvé dans ses personnages une sorte de dégoût... En effet, ces derniers ont surjoué leur rôle, ne laissant rien transparaître dans leurs yeux ou attitude... Seul dans le regard de Mme Raquin, interprétée par Sylvie, nous pouvions lire des signes des peur et de détresse... En bref, chers lecteurs, excusez mon expression mais, ce film est un «Navet»... En effet, Carné a «gâché» le célèbre roman pour en faire un film dont dès le début, on peut imaginer la suite de l'histoire et son dénouement. La fin, au contraire, a été bien mise en scène; l'ironie du sort ou plutôt la fatalité de l'accident, laissant alors faire transparaître la violence de Laurent aux yeux passants (lorsque celui-ci se met à «passer à tabac» et laisser décéder le marin qui vient de se faire renverser par un camion,). Laissant ainsi faire poster la lettre dénonciatrice qui avait été laissée par le jeune maître-chanteur à son amie Georgette (Maria-Pia Casilio); ce qui condamne alors Thérèse et Laurent.
Voilà. Désolée pour le "roman".
Merci d'avance à ceux qui m'aideront (soyez SANS PITIEE
)