erell29 a écrit le 29/02/2012 à 10h23: |
| | Oui je pense comme toi. Le cadre structurant reste très important.
Mais justement, je crois qu'il ne s'applique pas dans cette situation car là le cheval n'est pas dangereux... il est juste pas contrôlable |
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Oui, je suis d'accord, dans ce cas le cheval n'est pas dangereux (du tout!).
Mais s'il faut 2h pour l'attraper, je dirais alors qu'il n'est pas "pratique" du tout.
Parfois, on peut choisir des règles pour rendre le quotidien pratique, fonctionnel.
Par exemple, ce n'est pas pratique de ne pas pouvoir l'attraper pour lui faire des soins, même s'il trouve ces soins désagréables (le désinfectant qui pique, etc.).
Je comprends que certaines personnes préfèrent laisser le cheval totalement libre de venir ou non, au pré. Notamment, pour observer les signaux qu'il communique et s'interroger sur ce qu'il serait intéressant d'améliorer.
Cela me paraît très logique.
Mais pour moi, on peut imposer certaines règles (fonctionnement, sécurité) tout en continuant de bien observer les signes que donne le cheval.
En effet, s'il ne fuit pas, il fera autre chose pour communiquer son déplaisir.
Je pense que ce n'est pas être un "dictateur" ou détruire la confiance.
Je pense même qu'il faut quelques règles pour donner un cadre stable à la confiance.
A bientôt.