Post des 1ère toutes séries, on s’entraide !

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Evangeline14

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Posté le 08/09/2012 à 11h42

Coucou les 1ères, et voilà déjà en deuxième année de lycée, le temps passe vite.

Que vous soyez 1ère S,ES,L, STMG ou autres vous êtes bienvenu sur ce post.

Ici on parle de nos journée, on s'aide si on ne comprend pas quelque chose, on rigole et on papote surtout



Iris 600 1ère L Espagnol Littérature, et Espagnol renforcé
Souris23 1ère comptabilité
Tswlouisa 1ère S
Naniche 1ère comptabilité
Polka7 1ère S
Opri ST2S
.vip. 1ère L
Claranonyme 1ère L euro et option Math
Lolakikou 1ère Pro CGEH
Lilyrodeo 1ére ES
Topgun77 STMG
Soleil68 1ère S
Mystral 1ère S
Sumenai 1ère L option arts plastique
P4ulliine 1ère S
Tanks Belge, en 5eme Math Sience ce qui est égal à la 1ere S
Samba50 1ère S
Kyram23 1ère L, option math et euro

Edité par evangeline14 le 02-10-2012 à 21h39

Justineflo

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Posté le 09/11/2012 à 21h30


quaroyca a écrit le 09/11/2012 à 20h08:


Coucou copine de L ! Alors si j'ai bien compris toi c'est les sous parties qui te gènent ?
Pour ton I -La plainte
En petit 1, Tu pourrais faire un paragraphe sur le registre élégiaque et tu cites quelque chose et tu te confirme avec une autre citation comme c'est le point commun.
Et pour ton petit 2, c'est une bonne idée ce que tu dis tu pourrais parler des différentes plaintes qu'ils vivent. De toute façon, avec plusieurs textes c'est quasiment sûr qu'ils y ai le même sujet.

Après pour ton II- Les images
Tu peux effectivement parler des images présentes dans les textes.
Mais j'avoue que je n'ai pas d'idées pour une autre sous partie.

Et pour le III- Appel à Dieu et à la nature
Pareil tu fais 1) que tout les textes ont un rapport avec dieu
Et petit 2) Qu'ils ont également un rapport avec la nature !


Voilà j'espère que ça t'iras ! Et sinon n'hésite pas je suis toujours là !!


Oh merci beaucoup!! Oui voilà, c'est pour les sous parties que je n'avais pas trop d'idée sur comment en parler, comment formuler et intégrer mes idées mais merci maintenant je vois un peu mieux et j'ai des idées précise. Plus qu'à tout mettre au brouillon et recopier.
Merci encore!

Tswlouisa

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Posté le 09/11/2012 à 22h27


quaroyca a écrit le 09/11/2012 à 19h57:


Tu veux quoi comme aide enfaite ??
Parce que en faite c'est genre un corpus non ??? Parce que je prendrais la première question pour le grand I et la deuxième pour le grand II ( je sais pas du tout si tu veux savoir ça )Et après tu cites des parties ? Enfin si tu m'expliques plus je vais pouvoir t'aider je pense !


Oui je penses que c'est un peu comme un corpus.

Quaroyca

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Posté le 10/11/2012 à 12h26


tswlouisa a écrit le 08/11/2012 à 21h08:
Donc en fait je dois faire un expo écrit et oral comme au bac oral de français et je dois répondre à une question qui porte sur l'ensemble des textes de la séquence 1.

Sujet :
Narrateur et personnage : quels sont leurs rapports ? quelles sont les intentions du narrateur ?

Vous répondrez à cette question de façon schématique. Il s'agit d'organiser votre réponse, de mettre les textes en perspective. Chaque point avancé sera justifié à l'aide des textes précisément. Il ne s'agit pas de répondre texte par texte (ce que j'aurais fait ).

Voilà donc maintenant les textes : ce sont seulement de portraits sur lesquels on a fait des lectures analytiques.


La Princesse de Clèves de La Fayette :
Il parut alors une beauté à la cour, qui attira les yeux de tout le monde, et l'on doit croire que c'était une beauté parfaite, puisqu'elle donna de l'admiration dans un lieu où l'on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame de Chartres, et une des plus grandes héritières de France. Son père était mort jeune, et l'avait laissée sous la conduite de madame de Chartres, sa femme, dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires. Après avoir perdu son mari, elle avait passé plusieurs années sans revenir à la cour. Pendant cette absence, elle avait donné ses soins à l'éducation de sa fille ; mais elle ne travailla pas seulement à cultiver son esprit et sa beauté ; elle songea aussi à lui donner de la vertu et à la lui rendre aimable. La plupart des mères s'imaginent qu'il suffit de ne parler jamais de galanterie devant les jeunes personnes pour les en éloigner. Madame de Chartres avait une opinion opposée ; elle faisait souvent à sa fille des peintures de l'amour ; elle lui montrait ce qu'il a d'agréable pour la persuader plus aisément sur ce qu'elle lui en apprenait de dangereux ; elle lui contait le peu de sincérité des hommes, leurs tromperies et leur infidélité, les malheurs domestiques où plongent les engagements ; et elle lui faisait voir, d'un autre côté, quelle tranquillité suivait la vie d'une honnête femme, et combien la vertu donnait d'éclat et d'élévation à une personne qui avait de la beauté et de la naissance. Mais elle lui faisait voir aussi combien il était difficile de conserver cette vertu, que par une extrême défiance de soi-même, et par un grand soin de s'attacher à ce qui seul peut faire le bonheur d'une femme, qui est d'aimer son mari et d'en être aimée.
Cette héritière était alors un des grands partis qu'il y eût en France ; et quoiqu'elle fût dans une extrême jeunesse, l'on avait déjà proposé plusieurs mariages. Madame de Chartres, qui était extrêmement glorieuse, ne trouvait presque rien digne de sa fille ; la voyant dans sa seizième année, elle voulut la mener à la cour. Lorsqu'elle arriva, le vidame alla au-devant d'elle ; il fut surpris de la grande beauté de mademoiselle de Chartres, et il en fut surpris avec raison. La blancheur de son teint et ses cheveux blonds lui donnaient un éclat que l'on n'a jamais vu qu'à elle ; tous ses traits étaient réguliers, et son visage et sa personne étaient pleins de grâce et de charmes.


Le Roman comique de Scarron
[Madame Bouvillon] approcha du Destin son gros visage fort enflammé et ses petits yeux fort étincelants, et lui donna bien à penser de quelle façon il se tirerait à son honneur de la bataille que vraisemblablement elle lui allait présenter. La grosse sensuelle ôta son mouchoir de col et etala aux yeux du Destin (qui n'y prenait pas grand plaisir) dix livres de tétons pour le moins, c'est à dire la troisième partie de son sein, le reste etant distribué à poids égal sous ses deux aisselles. Sa mauvaise intention la faisant rougir (car elles rougissent aussi, les devergondées), sa gorge n'avait pas moins de rouge que son visage, et l'un et l'autre ensemble auraient été pris de loin pour un tapabor d'écarlate. Le Destin rougissait aussi, mais de pudeur, au lieu que la Bouvillon, qui n'en avait plus, rougissait je vous laisse à penser de quoi. Elle s'ecria qu'elle avait quelque petite bête dans le dos, et, se remuant en son harnais, comme quand on y sent quelque demangeaison, elle pria le Destin d'y fourrer la main. Le pauvre garçon le fit en tremblant, et cependant la Bouvillon, lui tâtant les flancs au defaut du pourpoint, lui demanda s'il n'était point chatouilleux. Il fallait combattre ou se rendre, quand Ragotin se fit ouïr de l'autre côté de la porte, frappant des pieds et des mains comme s'il l'eût voulu rompre et criant au Destin qu'il ouvrît promptement. Le Destin tira sa main du dos suant de la Bouvillon pour aller ouvrir à Ragotin, qui faisait toujours un bruit de diable; et voulant passer entre elle et la table assez adroitement pour ne la pas toucher, il rencontra du pied quelque chose qui le fit broncher et se choqua la tête contre un banc assez rudement pour en être quelque temps étourdi. La Bouvillon cependant, ayant repris son mouchoir à la hâte, alla ouvrir à l'impetueux Ragotin, qui en même temps, poussant la porte de l'autre côté de toute sa force, la fit donner si rudement contre le visage de la pauvre dame qu'elle en eut le nez ecaché et de plus une bosse au front grosse comme le poing. Elle cria qu'elle était morte.


Les liaisons dangereuses de Laclos
Entrée dans le monde dans le temps où, fille encore, j’étais vouée par état au silence et à l’inaction, j’ai
su en profiter pour observer et réfléchir. Tandis qu’on me croyait étourdie ou distraite, écoutant peu à la vérité
les discours qu’on s’empressait de me tenir, je recueillais avec soin ceux qu’on cherchait à me cacher.
Cette utile curiosité, en servant à m’instruire, m’apprit encore à dissimuler : forcée souvent de cacher les
objets de mon attention aux yeux qui m’entouraient, j’essayai de guider les miens à mon gré ; j’obtins dès lors
de prendre à volonté ce regard distrait que depuis vous avez loué si souvent. Encouragée par ce premier
succès, je tâchai de régler de même les divers mouvements de ma figure. Ressentais-je quelque chagrin, je
m’étudiais à prendre l’air de la sécurité, même celui de la joie ; j’ai porté le zèle jusqu’à me causer des
douleurs volontaires, pour chercher pendant ce temps l’expression du plaisir. Je me suis travaillée avec le
même soin et plus de peine pour réprimer les symptômes d’une joie inattendue. C’est ainsi que j’ai su prendre
sur ma physionomie cette puissance dont je vous ai vu quelquefois si étonné.
J’étais bien jeune encore, et presque sans intérêt : mais je n’avais à moi que ma pensée, et je m’indignais
qu’on pût me la ravir ou me la surprendre contre ma volonté. Munie de ces premières armes, j’en essayai
l’usage : non contente de ne plus me laisser pénétrer, je m’amusais à me montrer sous des formes différentes ;
sûre de mes gestes, j’observais mes discours ; je réglais les uns et les autres, suivant les circonstances, ou
même seulement suivant mes fantaisies : dès ce moment, ma façon de penser fut pour moi seule, et je ne
montrai plus que celle qu’il m’était utile de laisser voir.
Ce travail sur moi-même avait fixé mon attention sur l’expression des figures et le caractère des
physionomies ; et j’y gagnai ce coup d’oeil pénétrant, auquel l’expérience m’a pourtant appris à ne pas me fier
entièrement ; mais qui, en tout, m’a rarement trompée.
Je n’avais pas quinze ans, je possédais déjà les talents auxquels la plus grande partie de nos politiques
doivent leur réputation, et je ne me trouvais encore qu’aux premiers éléments de la science que je voulais
acquérir.


Le Rouge et le Noir de Stendhal
Si, en entrant à Verrières, le voyageur demande à qui appartient cette belle fabrique de clous qui assourdit les gens qui montent la grande rue, on lui répond avec un accent traînard : Eh ! elle est à M. le maire. Pour peu que le voyageur s’arrête quelques instants dans cette grande rue de Verrières, qui va en montant depuis la rue du Doubs jusque vers le sommet de la colline, il y a cent à parier contre un qu’il verra paraître un grand homme à l’air affairé et important. A son aspect tous les drapeaux se lèvent rapidement. Ses cheveux sont grisonnants, et il est vêtu de gris. Il est chevalier de plusieurs ordres, il a un grand front, un nez aquilin, et au total sa figure ne manque pas d’une certaine régularité : on trouve même, au premier aspect qu’elle réunit à la dignité du maire de village cette sorte d’agrément qui peut encore se rencontrer avec quarante-huit ou cinquante ans. Mais bientôt le voyageur parisien est choqué d’un certain air de contentement de soi et de suffisance mêlé à je ne sais quoi de borné et de peu inventif.sent enfin que le talent de cet homme-là se borne à se faire payer bien exactement ce qu’on lui doit, et à payer lui-même le plus tard possible quand il doit. Tel est le maire de Verrières, M. de Rênal. Après avoir traversé la rue d’un pas grave, il entre à la mairie et disparaît aux yeux du voyageur. Mais, cent pas plus haut, si celui-ci continue sa promenade, il aperçoit une maison d’assez belle apparence, et à travers une grille de fer attenante à la maison, des jardins magnifiques. Au-delà, c’est une ligne d’horizon formée par les collines de la Bourgogne ; et qui semble faite à souhait pour le plaisir des yeux. Cette vue fait oublier au voyageur l’atmosphère empestée des petits intérêts d’argent dont il commence à être asphyxié. On lui apprend que cette maison appartient à M. de Rênal. C’est aux bénéfices qu’il a faits sur sa grande fabrique de clous que le maire de Verrières doit cette belle habitation en pierre de taille qu’il achève en ce moment. Sa famille dit-on, est espagnole antique, et, à ce qu’on prétend, établie dans le pays bien avant la conquête de Louis X. Depuis 1815 il rougit d’être industriel : 1815 l’a fait maire de Verrières. Les murs en terrasse qui soutiennent les diverses parties de ce magnifique jardin qui, d’étage en étage, descend jusqu’au Doubs, sont aussi la récompense de la science de M. de Rênal dans le commerce du fer.


Madame Bovary de Flaubert
Alors on vit s’avancer sur l’estrade une petite vieille femme de maintien craintif, et qui paraissait se ratatiner dans ses pauvres vêtements. Elle avait aux pieds de grosses galoches de bois, et, le long des hanches, un grand tablier bleu. Son visage maigre, entouré d’un béguin sans bordure, était plus plissé de rides qu’une pomme de reinette flétrie, et des manches de sa camisole rouge dépassaient de longues mains à articulations noueuses. La poussière des granges, la potasse des lessives et le suint des laines les avaient si bien encroûtées, éraillées, durcies, qu’elles semblaient sales quoi qu’elles fussent rincées d’eau claire ; et, à force d’avoir servi, elles restaient entrouvertes, comme pour présenter d’elles-mêmes l’humble témoignage de tant de souffrances subies. Quelque chose d’une rigidité monacale relevait l’expression de sa figure. Rien de triste ou d’attendri n’amollissait ce regard pâle. Dans la fréquentation des animaux, elle avait pris leur mutisme et leur placidité. C’était la première fois qu’elle se voyait au milieu d’une compagnie si nombreuse ; et, intérieurement effarouchée par le drapeaux, par les tambours, par les messiers en habit noir et par la croix d’honneur du Conseiller, elle demeurait tout immobile, ne sachant s’il fallait s’avancer ou s’enfuir, ni pourquoi la foule la poussait et pourquoi les examinateurs lui souriaient. Ainsi se tenait, devant ces bourgeois épanouis, ce demi-siècle de servitude.


Barrage contre le Pacifique de Duras
Ils l'avaient déja vu à côté d'Agosti. Il était seul à sa table. C'était un jeune homme qui paraissait avoir vingt-cinq ans, habillé d'un costume de tussor grége. Sur la table il avait posé un feutre du même grège. Quand il but une gorgé de pernod ils virent à son doigt un magnifique diamant, que la mère se mit à regarder en silence, interdite.
-Merde, quelle bagnole, dit Joseph. Il ajouta : Pour le reste , c'est un singe.
Le diamant était énorme, le costume en tussor, très bien coupé. Jamais Joseph n'avait porté de tussor. Le chapeau mou sortait d'un film : un chapeau qu'on se posait négligemment sur la tête avant de monter dans sa quarante chevaux et d'aller à longchamp jouer la moitié de sa fortune parce qu'on a le cafard à cause d'une femme. C'était vrai, la figuren'était pas belle. Les épaules étaient étroites , les bras courts, il devait avoir une taille au-dessousde la moyenne. Les mains petites étaient soignées, plutôt maigre assez belles. Et la présence du diamant leur conférait une valeur royale, un peu déliquescente. Il était seul, planteur, et jeune. Il regardait Suzanne, la mère vit qu'il la regardait. La mère à son tour regarda sa fille. A la lumière électrique ses taches de rousseur se voyaient moins qu'au grand jour. C'était sûrement une belle fille, elle avait des yeux luisants, arrogants, elle était jeune, à la pointe de l'adolescence et pas timide.
-Pourquoi tu fais une tête d'enterrement ? dit la mère. Tu ne peux pas avoir une fois l'air aimable ?
Suzanne sourit au planteur du nord.

Merci à ceux qui m'aideront !


Oui donc si c'est comme un corpus je pense que tu dois faire un plan.
En gros ça, ça serait ta problématique : Quels sont leurs rapports ? Quelles sont les intentions du narrateur ?

Donc logiquement tu ferais un truc genre:
I- Points communs entre narrateurs et personnages.
II- Les intentions du narrateur

Bon j'ai pas trop d'idées mais dans le I 1) tu pourrais mettre quelque chose genre que le narrateur et proche des personnages puisqu'il raconte leur histoire.
2) Un truc de technique genre les registres enfin quelque chose qu'il y a dans tout les textes comme ça tu cites un peu de tout.
Et pour le II 1) j'ai pas d'idées.
Je sais pas trop si je t'ai aidé....


En tout cas je suis contente que mon aide t'ai était profitable JustineFlo

Edité par quaroyca le 10-11-2012 à 12h28



Quaroyca

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Posté le 10/11/2012 à 12h31

Sinon pour mon commentaire composé j'ai encore avancé et j'ai trouvé ça :


I- Un voyage
1) De nombreuses richesses
2) Une pauvreté également présente
II- Une promenade aussi personnelle
1) La présence du "Je" poétique
2) Les registres satiriques & élégiaques

Vous en pensez quoi ??

Chevalsaut

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Posté le 10/11/2012 à 13h53

Bonjour j'ai un problème avec mes maths

2.Application

Une fonction f définie sur l'intervalle I= intervalle crochet interieur 1 à plus l'infini strictement croissante sur I et f(1)=0

Démontrez que,pour tout nombre x appartenant à l'intervalle I,la fonction g:x: 1 (trait de fraction) /f(x)+1 est définie sur I et que pour tout nombre x de I,g(x)

Chevalsaut

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Posté le 10/11/2012 à 15h03

Donc voilà j 'ai du mal avec cette exercice

Chevalsaut

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Posté le 10/11/2012 à 16h29

Up !!!

Grignotte37

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Posté le 10/11/2012 à 18h13

Chevalsaut où as tu du mal? Je veux bien t'aider, mais je ne veux pas faire ton exercice à ta place.

Chevalsaut

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Posté le 10/11/2012 à 19h20


grignotte37 a écrit le 10/11/2012 à 18h13:
Chevalsaut où as tu du mal? Je veux bien t'aider, mais je ne veux pas faire ton exercice à ta place.


Je n'ais jamais dit de faire l'exercice à ma place ,je voulais savoir la méthode pour y arriver faut t'il décomposer et faire un tableau de variation ?

Edité par chevalsaut le 10-11-2012 à 19h28



Grignotte37

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Posté le 10/11/2012 à 19h56

As tu réussi à montrer que g est bien défini sur I?
As mon avis il manque la fin de l'énoncé de ton exercice.

Chevalsaut

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Posté le 10/11/2012 à 21h02


grignotte37 a écrit le 10/11/2012 à 19h56:
As tu réussi à montrer que g est bien défini sur I?
As mon avis il manque la fin de l'énoncé de ton exercice.


En faite il y avait avant un petit un que j'ai déja fait ça s'appellait démontrer et maientenant le petit deux c'est appliquer mais je ne vois pas comment on fait pour appliquer

Grignotte37

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Posté le 10/11/2012 à 21h12

Tu ne vois pas comment montrer que la fonction est bien défini?

Il me manque la fin de ta question 2 dans tous les cas...
Sinon, tu peux aussi scanner ton énoncé (ou mettre un lien si ton prof a un site où il y a l'énoncé). Je comprendrais sans doute mieux l'exercice.

Mystral

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Posté le 10/11/2012 à 21h14

Coucou Grinotte,

Saurais-tu jeter un petit coup d'oeil à mon post un peu plus bas si tu as le temps s'il-te-plaît ?

Chevalsaut

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Posté le 10/11/2012 à 21h17


grignotte37 a écrit le 10/11/2012 à 21h12:
Tu ne vois pas comment montrer que la fonction est bien défini?

Il me manque la fin de ta question 2 dans tous les cas...
Sinon, tu peux aussi scanner ton énoncé (ou mettre un lien si ton prof a un site où il y a l'énoncé). Je comprendrais sans doute mieux l'exercice.


je vais regarder çe que je peut faire je reviens

Chevalsaut

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Posté le 10/11/2012 à 21h20

C'est bon voici l'exercise en entier JE PRECISE QUE J AI DEJA FAIT LE I)DEMONTRER

Une fonction u est définie sur un intervalle I et pour tout nombre x de I,u(x)>0
Les fonctions u et 1 sur u varient dans le sens contraire

1.Démonstration
k est un nombre strictement positif, f est une fonction strictement croissante sur un intervalle I, et pour tout nombre x de I,f(x)>ou égal à 0. Prouvez que la fonction x: 1 (trait de fraction)/ f(x)+k est strictement décroissante sur l'intervalle I

2.Application
Une fonction f définie sur l'intervalle I= intervalle crochet interieur 1 à plus l'infini strictement croissante sur I et f(1)=0
Démontrez que,pour tout nombre x appartenant à l'intervalle I,la fonction g:x: 1 (trait de fraction) /f(x)+1 est définie sur I et que pour tout nombre x de I,g(x)
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