soucis école, vie en général

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Boudinette

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soucis école, vie en général
Posté le 21/09/2012 à 00h50

Bonjour (ou plutôt bonne nuit vu l'heure)

Je ne sais pas si ce post pourra vraiment m'aider, mais bon au "pire" ça m'aura vidée un peux.

Alors voilà, pour situer un peux, je suis actuellement en Terminale (je n'ai jamais redoublé, j'ai donc 17 ans) je suis en "STL" science technique de labo.
Bref, j'en viens aux "faits"

Je n'ai jamais été "bien" dans ma peau, j'ai toujours eu une très mauvaise estime de moi même. On pourrait croire d'ailleurs que je dis ça sans arrêt pour qu'on me dise mais non ou je ne sais quoi, mais pas du tout, vu que je ne le croirais pas. Bref, j'ai toujours était appart, moins en primaire, mais surtout à partir du CM1. Au collège n'en parlons pas..!
Puis années collèges fini, me voilà parti pour une nouvelle aventure, le lycée ! J'ai choisi d'aller dans un lycée avec option équitation et hippologie, sauf que c'était en internat.
Bref, ce lycée fût en fait une horreur.. Autant les professeurs que les autres élèves (l'internat en lui même ne me posé pas de soucis, être loin de ma maison je m'en fichais) en milieu d'année mon médecin m'a carrément "arrêtée" je suis resté une semaine chez moi, car j'aller péter un plomb.. Et encore, ils étaient loin de s'imagine a quel point vu que je ne disais rien. Chaque lundi quand ma mère m'emmener j'avais les larmes aux yeux, chaque mercredi aprem où elle ne venait pas me chercher j'étais juste horriblement mal.. Heureusement, je n'étais pas seule dans mon malheur la bas. 2 autres personnes de ma classe était dans ce cas, de belle rencontres donc. On lutter tout les 3 contre tout ces c*ns.. Aussi bien les élèves que les profs (pleurer le premier cours avec une prof par exemple.. Et le 2 eme se retenir de toute ses forces car celle ci te dis bien devant tout le monde "tu vas pas pleurer cette fois hein ?"..) j'ai aussi eu pas mal de soucis a l'internat, des petits "jeux" pas très drôle. Jusque me prendre un "sceau" d'eau en pleine nuit, qu'on m'enlève toute les photos de mon armoire et qu'on les dissimule partout dans mes affaires pour bien montré qu'on a fouillé partout.. Ou bien encore cacher mon sac de cours, a chaque récré, pause, ou autre (petit lycée donc on les poser dans les couloirs..) Enfin ce genre de choses quoi. Si j'avais eu la force, j'me serais bien barré de la bas en pleine nuit, mais en pleine cambrousse, c'était pas la peine. J'ai quand même réussi a rester plus ou moins "forte" niveau scolarité. J'avais un prof, que j'apprécié tout particulièrement (prof de physique) et lui il "croyait" en moi, je participais que dans son cours (c'était toujours moi, vu que les autres ne participaient pas..) le seul a dire du "bien" de moi aux réunions, les autres disaient que je ne participaient pas ect ect (mais bon, c'était vrai, donc j'ai rien a dire la dessus) m'enfin je peu vraiment pas participer avec de tel prof donc voilà.. J'ai donc quand même réussi a bien m'en sortir au 3 eme trimestre, j'étais contente de pouvoir leur "prouver" que je pouvais faire quelque chose.
La fin d'année approchée, et avec mes 2 amis on pensé qu'a une chose : partir d'ici l'an prochain ! Bien sûr on a pas su direct si oui ou non on était pris dans l'autre lycée (notre lycée de secteur mais moi c'était une filière "spéciale"..) le résultat tombe et donc j'ai pu partir, je ne suis donc plus en internat, je suis dans un grand lycée, un lycée "normal" et non agricole comme le premier.

Et donc vient l'année de première, je me fais des amis, tout va "bien" côté cours. Mais je suis toujours mal, chaque soirs c'était le même scénario.. (et ce depuis l'été avant mon entré dans le lycée agricole..)
Je pensais que j'aller aller mieux même en dehors du lycée dans ce nouveau lycée, mais franchement non, c'est pire même. Appart mes amis, dans ma classe ils sont un peu "fermer d'esprit" on va dire, un peu c*n.. (juste un peux..) mais bon j'pas trop de soucis avec ça moi je cherche pas la m*rde, mais ça me "touche" même avec ce qu'ils disent de mon ami (ami atteint d'une maladie pas cool du tout, arthrose juvénile ect..) ils parlent sans rien savoir enfin bref là n'est pas le sujet.. J’enchaîne les notes "correct" mais pas top pour autant, puis je commence à chuté, ça va vraiment plus, je n'arrive plus à bosser. J'essayer d'apprendre mes leçons, en vain, je m'endormais sur mes feuilles, je retenais rien du tout, toujours la tête ailleurs, j'me suis forcée mais le résultat était bien évidement pas top.. Au long de l'année on me dit a longueur de journée des "tes une m*rde" ou " c'est encore toi qui a la pire note ?" ce genre de trucs, j'en "rigoler" avec eux, mais au fond, a force.. C'est assez difficile à supporter. Mes notes chutent de plus en plus, je suis passé de environ 10 de moyenne général au premier trimestre, a 8 presque 7 au dernier.. Et donc les commentaires "tes une m*rde" ect ce faisait encore plus souvent, à chaque cours. Sa plus déjà tout les soucis que j'avais hors lycée, c'était juste pas possible. Avant les épreuves anticipées j'apprend qu'on me conseil le redoublement, chose a laquelle je m'attendais, et que j'aller accepté, même si j'en aurait pas eu la force.. Je décide donc de réviser quand même un peu pour mes épreuves, sans me tuer au travail non plus vue que je redouble. Sauf que bien sûr je n'arrive toujours pas a retenir quoi que ce sois. J'ai donc passé mes épreuves, les résultats sont catastrophiques. (j'ai 34 points de retard..) Et le ponpon, a la réinscription, on me dit que c'est pas sûr qu'ils me reprennent dans ma filière si je redouble, ne pouvant pas faire une autre filière que celle ci, j'ai donc du passé. On c'est dit que j'aller redoubler ma Terminale dans le pire des cas, je n'avais pas le choix. Oui sauf que me voilà avec 34 points de retard.. Et donc des vacances qui commençaient bien..

Les vacances, elles se sont juste très mal passé, comme chaque vacances depuis 2 ans, et comme chaque jour dans l'ensemble quoi..

La rentrée, je garde la même classe que l'an passé. Puis j'avais quand même un espoir, re me dire que je pourrais y arrivé quand même. Mais les premiers cours m'ont montré que j'étais vraiment nulle.. Je suis larguée, depuis le début. On a déjà eu 2 TP notés (coeff 6 au bac le TP..) et 2 notes médiocres. Rien de tel pour me pourrir encore plus le moral qui est déjà très faible. De plus les profs ne fond rien pour arranger mon cas, j'ai droit a des vielles réflexions.. Et mon prof de math est juste, méchant, il nous ridiculise au tableau, j'vais finir par y aller la boule au ventre, tout comme en anglais.. Bref me voilà très mal parti pour le bac.

Je suis pessimiste, je sais, mais je ne vais pas avoir mon bac, je n'y crois pas, et je suis sûr de moi, j'arrive a rien, même pas capable de comprendre un foutu texte en anglais ou quoi, je suis nulle.
Et puis les réflexions style "tes une m*rde" continuent encore, et encore..

A côté de ça, j'ai une "pression" supplémentaire chez moi, vu que, mon frère c'est arrêté après son BEP.. Moi je suis la fifille qui va avoir son bac, qui travail bien, et qui fait pas de bêtises.
Je suis consciente que sans bac je suis dans la mouise, et je suis loin d'être aussi inconscient que mon frère, les bêtises, les je sèche les cours, c'est pas moi. J'y vais, même si je fais surtout acte de présence.. Mais à côté de ça, j'me dis que je suis en train de perdre mon année là. Mais je ne sais pas quoi faire.. Je ne sais pas ce que je pourrais faire, d'autre. Les cours c'est vraiment pas pour moi, je pense. Et j'ai vraiment du mal à supporter les gens de mon âge..

Pour résumer, que se sois avec ou sans rapport avec le lycée : je suis très mal, et depuis trop longtemps à mon goûts, je surchauffe un peu, beaucoup. Malheureusement il m'est impossible d'en faire part a mes parents, ou a quiconque je suis bien trop "timide" et "pudique" pour ça, franchement je ne pourrais jamais, pas faut d'y avoir pensé mainte et mainte fois.

J'avoue que mon post ne sert pas a grand chose, et peu de gens vont lire tout ce pavé inutile.. Mais j'me serais vidée, un peux..
Mais si quelqu'un a une idée de ce que je pourrais faire (niveau scolaire)..?

Merci à ceux qui auront lu, et désolée pour les fautes.

Edité par boudinette le 21-09-2012 à 00h51


Post fermé, ce n'est pas le but d'un forum de remplacer des dialogues entre personnes réelles et via d'autres media, pas plus que de remplacer des conseils de pro qualifiés, compétents et diplomés.
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Mimichamp56

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Posté le 04/10/2012 à 23h30


boudinette a écrit le 21/09/2012 à 01h44:
J'ai toujours était plus ou moins "rejeté" (pas par mes parents) et ça ne ma pas aidé


C'est facile de toujours rejeter le tord sur les autres.
Ne penses tu pas que tu as aussi toujours tout fait pour être rejetée ? ...

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Posté le 04/10/2012 à 23h41


mimichamp56 a écrit le 04/10/2012 à 23h30:


C'est facile de toujours rejeter le tord sur les autres.
Ne penses tu pas que tu as aussi toujours tout fait pour être rejetée ? ...


facile à dire et de juger quand on ne sait pas ce que c'est...
crois tu qu'un enfant fait exprès d'être rejeté par ses parents ?

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Posté le 04/10/2012 à 23h47


carolarik a écrit le 04/10/2012 à 23h41:


facile à dire et de juger quand on ne sait pas ce que c'est...
crois tu qu'un enfant fait exprès d'être rejeté par ses parents ?


Elle a dit qu'elle n'était pas rejetée par ses parents.

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Posté le 04/10/2012 à 23h54


mimichamp56 a écrit le 04/10/2012 à 23h47:


Elle a dit qu'elle n'était pas rejetée par ses parents.


oups...

de toute façon le rejet qu'on s'inflige par rapport aux autres provient tres souvent d'un soucis provenant de l'enfance, au niveau confiance en soi et en les autres, d'education parentale, d'attention reçue....
j'ai remarqué ça quand j'etais ado, j'avais peu de potes, mais souvent ces potes avaient des parents tres à l'ecoute, les poussant vers le haut, du coup, les potes etaient tres ouverts vers les autres, avaient confiance en eux, etaient populaires.... mes parents n'etaient pas comme les leurs, et moi je n'etais pas comme eux.

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Posté le 04/10/2012 à 23h56


carolarik a écrit le 04/10/2012 à 23h54:


oups...

de toute façon le rejet qu'on s'inflige par rapport aux autres provient tres souvent d'un soucis provenant de l'enfance, au niveau confiance en soi et en les autres, d'education parentale, d'attention reçue....
j'ai remarqué ça quand j'etais ado, j'avais peu de potes, mais souvent ces potes avaient des parents tres à l'ecoute, les poussant vers le haut, du coup, les potes etaient tres ouverts vers les autres, avaient confiance en eux, etaient populaires.... mes parents n'etaient pas comme les leurs, et moi je n'etais pas comme eux.


Je suis entièrement d'accord, mais il ne faut pas résumer cela par " J'ai toujours été rejetée ", car bien souvent ce n'était pas la faute des autres ...

Carolarik

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Posté le 05/10/2012 à 00h00


mimichamp56 a écrit le 04/10/2012 à 23h56:


Je suis entièrement d'accord, mais il ne faut pas résumer cela par " J'ai toujours été rejetée ", car bien souvent ce n'était pas la faute des autres ...


non c'est vrai, mais c'est tres dur de se sentir rejeté et à l'ecart des autres en permanence....
maintenant, à part faire un travail sur soi pour tenter de s'en sortir, il n'y a pas de solution...

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Posté le 05/10/2012 à 00h09


carolarik a écrit le 05/10/2012 à 00h00:


non c'est vrai, mais c'est tres dur de se sentir rejeté et à l'ecart des autres en permanence....
maintenant, à part faire un travail sur soi pour tenter de s'en sortir, il n'y a pas de solution...


Je ne dis pas le contraire, je sais ce que c'est aussi.
Ben oui, justement, il faut faire un énorme travail sur soi, et se faire aider, au lieu de se contenter de dire que c'est la faute des autres et qu'on ne "peut" pas aller voir un psy ...

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Posté le 05/10/2012 à 00h13


mimichamp56 a écrit le 05/10/2012 à 00h09:


Je ne dis pas le contraire, je sais ce que c'est aussi.
Ben oui, justement, il faut faire un énorme travail sur soi, et se faire aider, au lieu de se contenter de dire que c'est la faute des autres et qu'on ne "peut" pas aller voir un psy ...


ce n'est pas facile de se lancer....
j'ai attendu longtemps aussi, mais j'ai fini par me rendre compte que ça n'allait pas, que je me sentais mal...et que mes chevaux le ressentaient et se sentaient mal aussi....

Lyia

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Posté le 05/10/2012 à 09h57


carolarik a écrit le 04/10/2012 à 22h50:


tu sais geriko, il y a des parents qui ne seront jamais capables de comprendre autre chose que ce qu'ils croient dur comme fer....
j'ai 33ans, j'ai deja essayé d'expliquer qqchose à mes parents, que ce soit par ecrit ou par oral, sur certaines choses s'etant passées dans ma vie, et qui ont causées tout ce mal-être en moi, ils n'ont pas cherché à comprendre, ils se sont dit que vus qu'ils etaient parfaits, c'etait forcément de la faute des autres...mais bien sûr...et même si j'ai une bonne situation, ils me considèrent toujours comme une moins que rien, quand je leur ai fait la remarque, ça les a fait marrer...donc parfois on ne peut s'en sortir que par sa propre volonté, malgré la nuisance de sa propre famille...
je te comprends boudinette, je suis passée par là, et j'espère que tu trouveras la force en toi pour depasser tout ça


J'ai exactement le même problème que toi,à 29 ans,d'où ma rupture malgré moi avec mes parents.
J'ai,comme toi,tenté d'expliquer,par oral,écrit,avec douceur,avec moins de douceur,à chaque fois,j'ai été totalement incomprise et face à une négation totale:J'affabule.Je me trompe.Je suis une "enfant gâtée qui a mal interprété leur amour".
Mes difficultés sont difficilement solvables,même si je vis dans,tout de même,beaucoup de bonheur.Il est malheureusement parasité par ces symptômes,témoins de mon passé.

La thérapie n'est pas chose aisée non plus à entreprendre.
Trouver un bon thérapeute.Etre en confiance.Que le côté financier ne soit pas un frein (certains prennent horriblement cher la séance...)Et qu'on ne souhaite pas vous donner des traitements lourds,trop lourds,des camisoles chimiques.

Boudi
,je pense très fort à toi,comme Carolarik,j'espère de tout mon coeur que tu auras la FORCE.
C'est possible,même lorsqu'on a l'impression que tout est noir et sans espoir autour de soi,le jour revient.

Boudinette

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Posté le 05/10/2012 à 20h40


carolarik a écrit le 04/10/2012 à 22h50:


tu sais geriko, il y a des parents qui ne seront jamais capables de comprendre autre chose que ce qu'ils croient dur comme fer....
j'ai 33ans, j'ai deja essayé d'expliquer qqchose à mes parents, que ce soit par ecrit ou par oral, sur certaines choses s'etant passées dans ma vie, et qui ont causées tout ce mal-être en moi, ils n'ont pas cherché à comprendre, ils se sont dit que vus qu'ils etaient parfaits, c'etait forcément de la faute des autres...mais bien sûr...et même si j'ai une bonne situation, ils me considèrent toujours comme une moins que rien, quand je leur ai fait la remarque, ça les a fait marrer...donc parfois on ne peut s'en sortir que par sa propre volonté, malgré la nuisance de sa propre famille...
je te comprends boudinette, je suis passée par là, et j'espère que tu trouveras la force en toi pour depasser tout ça

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Posté le 05/10/2012 à 20h42


mimichamp56 a écrit le 04/10/2012 à 23h30:


C'est facile de toujours rejeter le tord sur les autres.
Ne penses tu pas que tu as aussi toujours tout fait pour être rejetée ? ...
Tu étais a la maternelle avec moi, en primaire avec moi, au collège avec moi, et tu es au lycée avec moi ?

Boudinette

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Posté le 05/10/2012 à 20h43


carolarik a écrit le 04/10/2012 à 23h54:


oups...

de toute façon le rejet qu'on s'inflige par rapport aux autres provient tres souvent d'un soucis provenant de l'enfance, au niveau confiance en soi et en les autres, d'education parentale, d'attention reçue....
j'ai remarqué ça quand j'etais ado, j'avais peu de potes, mais souvent ces potes avaient des parents tres à l'ecoute, les poussant vers le haut, du coup, les potes etaient tres ouverts vers les autres, avaient confiance en eux, etaient populaires.... mes parents n'etaient pas comme les leurs, et moi je n'etais pas comme eux.
J'me souviens très bien que petite j'me disais toujours que mon frère était le "chouchou" ect.. Après je n'sais pas

Edité par boudinette le 05-10-2012 à 20h43



Boudinette

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Posté le 05/10/2012 à 20h44


mimichamp56 a écrit le 04/10/2012 à 23h56:


Je suis entièrement d'accord, mais il ne faut pas résumer cela par " J'ai toujours été rejetée ", car bien souvent ce n'était pas la faute des autres ...
Et alors? Je n'ai pas forcément rejeté ça sur les autres, même si je sais très bien que, c'était pas ma faute si j'étais rejeter en primaire/collège, sauf si c'est ma faute d'être moche ?

Boudinette

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Posté le 05/10/2012 à 20h46


lyia a écrit le 05/10/2012 à 09h57:


J'ai exactement le même problème que toi,à 29 ans,d'où ma rupture malgré moi avec mes parents.
J'ai,comme toi,tenté d'expliquer,par oral,écrit,avec douceur,avec moins de douceur,à chaque fois,j'ai été totalement incomprise et face à une négation totale:J'affabule.Je me trompe.Je suis une "enfant gâtée qui a mal interprété leur amour".
Mes difficultés sont difficilement solvables,même si je vis dans,tout de même,beaucoup de bonheur.Il est malheureusement parasité par ces symptômes,témoins de mon passé.

La thérapie n'est pas chose aisée non plus à entreprendre.
Trouver un bon thérapeute.Etre en confiance.Que le côté financier ne soit pas un frein (certains prennent horriblement cher la séance...)Et qu'on ne souhaite pas vous donner des traitements lourds,trop lourds,des camisoles chimiques.

Boudi
,je pense très fort à toi,comme Carolarik,j'espère de tout mon coeur que tu auras la FORCE.
C'est possible,même lorsqu'on a l'impression que tout est noir et sans espoir autour de soi,le jour revient.
C'est clair, je n'ai pas les moyens personnellement de toute façon, comme j'ai déjà pu le dire, on préfère manger
Merci à toi

Carolarik

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Posté le 05/10/2012 à 22h41


boudinette a écrit le 05/10/2012 à 20h40:


je pense que d'ici quelques années tu franchiras le pas d'aller voir qqun à qui te confier et qui pourra te conseiller, pour que tu te sentes mieux dans ta peau, et puisse vivre une vie meilleure,
pour le moment, ce n'est pas possible, tu es dependante de ta famille, et tu ne fais pas ce que tu veux, donc à part tenter de garder la tête hors de l'eau, et de t'en sortir comme tu peux, je ne peux rien te conseiller,
tu n'as pas de grands-parents, d'oncle/tante qui pourraient t'aider ?
il n'y a pas longtemps, j'ai acheté le bouquin "la méditation pour les nuls", j'etais septique au depart, mais pfiou ! ça detend ! ça ne resoud pas tout, c'est sur, mais deja pouvoir se detendre c'est deja un grand pas...
aller, courage !
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