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CEPENDANT, ce rythme de travail est très variable et très compliqué à définir.
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La question est de savoir
Comment éviter le surmenage lorsqu'on ne sait pas doser le travail (poulain ou adulte) ?
C'est facile, trop facile de dépasser les limites de ce qu'un cheval peut supporter
Il faut être très à l'écoute de son cheval
et là je parle de chevaux mis au travail régulier, qui vont bosser tous les jours ou éventuellement dans le cas d'un débourrage :
Dans mon cas j'ai une astuce qui a toujours payé, j'évite de faire transpirer excessivement un cheval qui n'est pas préparé au travail (poulain ou adulte), et je suis sur de ne jamais dépasser ses limites physiques
Monter un cheval, le faire trotter, galoper, c'est du sport, du travail pour lui
Par la transpiration je vois à quel moment arrêter le travail
Si le cheval n'est pas préparé au travail au début il aura tendance à se chauffer très rapidement, et même pour du travail à la longe, mais avec le temps, en faisant les choses progressivement, en arrêtant le travail à la limite de la transpiration
il va prendre de l'énergie de jour en jour, il va prendre du muscle, il va se chauffer moins rapidement, et à ce moment je peux augmenter l'intensité du travail au fur et à mesure de ce gain d'énergie
Après quelques mois de travail je me retrouve avec un cheval en bonne condition physique car je n'ai jamais dépassé ses limites, il a gagné en force, en énergie, il est pas surmené, il peut fournir un travail plus important
Mais lorsqu'il s'agit de compétition, oui il va transpirer, mais après j'imagine que tout proprio digne de ce nom lui laissera quelques jours de repos pour récupérer
De même un cheval qui travaille régulièrement doit au minimum avoir 1 jour de repos dans la semaine