lote10 Je te copie colle ce que je t'ai répondu sur le poste des futures maman:
Citation :
Les marques changent régulièrement de fournisseur. C'est comme ça que Love and Green justifie d'ailleurs leurs mauvais résultats.
J'imagine que Lillydoo a changé de fournisseur ce qui expliquerait ce résultat. Ils ont retrouvé beaucoup de résidus de pesticides dans les couches, et notamment le glyphosate. Elles font parties des couches les plus chères, elles ont un devoir d'être totalement clean.
Et honnêtement perso j'ai plus confiance dans les testes réalisés par un établissement public qui est sous la tutelle d'un ministère (L'institut national de la consommation édite le magasine 60 millions de consommateurs qui a publié l'étude), que dans une étude réalisée par le vendeur lui même.
Après, on peut aussi se dire que les résidus trouvés sont en nombre très faibles donc il faut relativiser. Sayf que pour le glyphosate par exemple, on le retrouve aussi dans beaucoup de produit de consommation, donc c'est ça + ça + ça. Comme c'est aussi une substance considérée comme un perturbateur endocrinien, ça commence à faire beaucoup.
J'ajouterai juste que je suis pas hystérique perso sur ces sujets. Je suis même assez cool. On mange bio quand on peut à la maison, on traite les tomates qu'on fait pousser, je suis pas hyper regardante sur la composition des fringues et je me maquille pas en bio.
De manière générale, je suis donc plutôt cool, pour certaines sans doute trop. D'ailleurs pour les soins pour bébé, je compte aussi faire au plus simple parce que je ne vais pas écumer les magasins bio de mon département.
En revanche, sur les couches, là je vais être un tout petit peu plus regardante, sans être hystérique. Ce qu'on se disait avec Agathe, c'est le bilan coût/composition/performance. Mais un bébé ça porte des couches pendant des années et tout le temps. L'idée qu'elle ait sur son cul du glyphosate pendant 3 ans, ça m'embête un peu.
Ensuite pour le retournement pour Pampers, c'est assez simple: 17% de part de marché perdu suite à la publication de l'étude de 2017. Ca remet les pendules à l'heure. C'est la pression du consommateur qui fait changer les pratiques, c'est un peu notre pouvoir. Donc changement de fournisseurs pour les matières premières.