lanamour je suis contente de lire que la situation s'est arrangée avec ton chéri. C'est vraiment très compliqué de retrouver un équilibre ! Un véritable défi au quotidien !
J'ai l'impression de jamais faire assez de choses "qui me plaisent à moi", et ça m'arrive encore d'avoir un pincement au coeur en rentrant de déplacement pro en me disant "allez je retourne dans ma routine à devoir m'occuper d'un bébé en priorité". Ça ne dure pas mais je vois bien que je n'ai toujours pas passé "le cap" et... elle a 13 mois... ma vie d'avant me manque encore, et j'ai toujours du mal à me dire que bébé fait partie de l'équation, ça reste encore mon "petit boulet", une contrainte quoi. Je culpabilise toujours par rapport à ça car j'ai l'impression que les autres parents sont hyper épanouis dans leur rôle de parent et moi...ben je sais pas si un jour j'arrêterai de penser que j'étais pas faire pour avoir des enfants (mais bon maintenant c'est fait et je souhaite toujours avoir un 2e dans quelques années).
Bon ça m'empêche pas d'être super heureuse de passer du temps avec elle le soir mais j'angoisse encore certains weekends et alors je parle même pas des 2 semaines de vacances qui arrivent (en août). Heureusement ensuite elle va passer une semaine chez ses grands-parents et nous on retourne au travail, ça sera nos vacances
utterandco j'ai lu que ça allait mieux avec ton petit car tu avais eu le temps de le laisser téter jusqu'à plus soif. Alors juste pour partager, moi les visites qui s'éternisent ça me faisait chier, mais en même temps je me barrais dans la chambre pour allaiter donc les gens se retrouvaient seuls au salon le temps qu'il fallait. En général ils se sentaient cons et partaient juste après, lol.
Et vraiment je rejoins toutes les autres mamans : tu ne seras jamais parfaite car tu es humaine et c'est drôlement chouette, en fait. Quand on en arrive à vouloir "qu'il se taise à tout prix", parfois il faut savoir poser bébé dans son lit et aller pleurer un bon coup dans le sien...ça m'est encore arrivé il y a quelques semaines... j'ai culpabilisé mais voilà je ne suis pas parfaite, ma patience n'est pas infinie, et je suis allée hurler dans mon oreiller jusqu'à me casser la voix... le comble étant que ma fille s'est endormie pendant ce temps-là...je devais être tellement sous pression que j'entretenais son mal-être...
Encore et toujours une histoire de lâcher-prise, quoi.