ncquoum ah! J'espère que ce revirement n'est pas une mauvaise nouvelle pour vous.
En tout cas, ça te permet de l'avoir toujours auprès de toi; j'imagine que c'est appréciable de pouvoir compter sur lui pour te relayer à certains moments quand il a fini le travail.
Il y a moins de tensions entre vous globalement?
Ouiiii, on a un voisinage en or. Nous sommes vraiment bien tombés.
Effectivement, tu as bonne mémoire: une voisine avait été piquée par une abeille après avoir approché de la ruche avec sa tondeuse (à l'endroit de la ruche, la jonction entre nos deux terrains est ouverte). On lui a proposé différentes solutions qu'elle a refusées. Soit. La ruche est toujours là. On a fait de la prévention en lui expliquant ce qui pouvait les rendre nerveuses (le jour où elle nous a informés de sa piqûre, elle était en train de passer par notre terrain pour évacuer des déchets verts en passant des dizaines de fois à côté de la ruche avec ses branchages dans l'agitation... elle cumulait les mauvais plans!). On va voir cet été...
Avec elle, on a moins de contacts. Je l'ai croisée une fois cet hiver au retour d'une session luge avec les enfants (elle nettoyait sa devanture de porte) alors on a échangé de longues minutes au loin. Elle est sympa et discute volontiers quand on la voit. Lors des fêtes de fin d'année 2019, les enfants lui avaient fait une carte et elle était venue leur apporter chacun un mini-ballotin de chocolats super mignon pour les remercier. Ses filles (elles doivent avoir 18-22 ans) sont gentilles aussi. Mais on la voit moins et on partage moins qu'avec d'autres de nos voisins avec qui on a plus d'atomes crochus.
Pareil, Pâques se résumait à la chasse aux oeufs (et aux cadeaux).
Par contre, je connaissais les crécelles mais pour une toute autre raison: j'ai fait beaucoup de patinage sur glace pendant ma jeunesse et, lors des compétitions, on en utilisait pour encourager les patineuses (mais la version de petite taille qu'on tient dans la main, parce qu'ici ils ont aussi des grosse "boîtes à bruits" à porter devant soi avec une sangle autour du cou).
Cette tradition à Pâques est apparemment aussi connue notamment en Lorraine et en Alsace (et au GDL).