mandolyne je me retrouve en partie dans tes messages.
Dans ma famille nous sommes 5 enfants, avec les conjoints et les petits enfants ça fait un paquet de monde. Il y a bien longtemps qu'à Noël, on ne s'assoit plus autour d'une table, on ne s'entend plus parler. Ce qui était un budget frères et s?urs hyper intelligent pour pouvoir gâter tout le monde est devenu un business où le but est de mettre le moins possible et récolter le plus possible. Je ne m'entends pas avec deux de mes frères et s?urs.
C'est le 3eme Noël que je passe différemment. Le premier, mon fils avait 2 semaines, on ne l'a pas passé avec autant de monde. On n'est allés chez personne. Le second, nous l'avons passé chez mes beaux parents le 24. Raphaël est leur premier petit enfant. J'ai donc invité mes parents, les frères et s?urs que j'aime bien et leurs conjoints absents le 24, à venir chez moi le 25 midi pour un petit noël entre nous. J'ai aimé le concept et donc cette année, on recommence!
J'ai retrouvé la joie de préparer Noël. J'ai dépensé probablement plus en cadeaux qu'avant mais je gâte tout le monde avec un présent que je me suis creusé la tête à trouver, que je suis allée chercher moi même.
Ces frères et s?urs, je les ai habilement exclus sans drame familial l'année dernière de notre anniversaire commun à mon fils et à moi. Cette année, ça se voulait diplomate (j'ai dit qu'il n'y avait pas d'anniversaire et ai convié les gens que je voulais inviter par ailleurs) mais une de mes s?urs a vendu la mèche sans le faire exprès. Ma soeur " bannie " n'en a pas fait une affaire, il semble qu'elle est suffisamment intelligente pour trouver ça logique que je ne veuille pas d'elle chez moi compte tenu de la façon dont elle me traite. Par contre, pour mon frère, le deuxième concerné, ce fut l'étonnement. J'ai du lui expliquer.. et il n'est pas convaincu

il a essayé de me convaincre que non, son comportement n'était pas abusé, mais bon au moins comme ça c'est clair, j'ai dit ce que j'avais à lui dire, il ne s'attendra plus à rien. Je ne reproche rien à personne mais qu'on ne me force pas à avoir des contacts alors qu'on me traite mal.
Je revis de ces décisions
