Parce que Maman t'a prévenue que tu dois resté propre toute la journée, même si tu es avec des chevaux toute la journée, car tu as un rendez-vous le soir et que tu n'auras pas le temps de te changer.
Et que c'est justement cette journée que tu te sali le plus de toute ta vie car tu es tombé dans du crottin en voulant le mettre dans le tas de fumier, pleine de paille car tu as décidé d'aider ta monitrice avec une amie pour faire les boxs, craquer ton pantalon car une poule à trouver drôle de t'attraper le pantalon pour essayer de le manger par la suite, tombé dans une flaque d'eau dans la carrière avec le sable tout collant car tu as voulu aider une petite à ce mettre en selle, pleine de bave verte car ton poney préféré à voulu se servir de toi comme mouchoir, et pleine de poussière car ta Maman est venu te chercher avec la bonne vielle 106 qui fait pleins de fumé et qui a beaucoup de mal à roulé et que tu ne sais toujours pas comment tu vas annoncer à ta chère Maman pourquoi tu es dans cet état alors que pour une fois, tu avais décidé de faire attention...
C'est fou, en me relisant, ça paraît même improbable vu tout ce qui m'est arrivé !
En y repensant, je n'ai vraiment pas eu de chance
Ou alors
Parce que tu décides de pique-niquer au club avec deux amies car "Tu vas voir, on va vraiment bien s'amuser !" et que cette journée fut l'une des plus malchanceuse de toutes.
Ta monitrice vous envoie chercher les 6 poneys qui sont à trente minutes de marche rien qu'à l'aller sous environ 22°C rien que le matin, que seulement là-bas tu remarque que l'un de tes licols est un licol shetland et que tu dois donc improviser un avec une longe, que tu te trimballe avec 2 poneys glouton, un à la traine, à ta gauche, qui en profite et le deuxième à ta droite qui te bouscule dès qu'un brin d'herbe bouge.
Qu'une fois les poneys mît dans le près et tes amies commence à retourner à l'écurie pour manger, des gens, dans une langue inconnue pour toi, te parlent mais que tu n'y comprend rien, et que décide à ce moment même ton "poney adoré que t'aime plus que l'arc-en-ciel et les bisounours" te marche sur le pied et décidé de rester à cette place brouté et que rien ne peut le faire bouger à part la carotte que tu as soigneusement laissé à l'entrée.
Qu'une fois que tu as terminé de manger avec tes amies, deux chevaux, un hongre et sa sœur trouve bon de s'échapper pour aller dans le pré d'un étalon en passant évidement devant l'hongre tout juste castré en compagnie de deux poneys et un deuxième étalon.
Que le "tout juste sans coucougnettes" va rejoindre les trois chevaux ainsi que l'autre étalon et que les deux poneys partent tranquillement l'air de rien vers la route.
Que tu es en panique total avec tout les licols que ta trouvé à la main ne sachant que faire.
Tu en lance deux à tes amies qui se mettent à la poursuite des deux poneys "dans la prairie" et gueulent comme des folles "À l'aide" suivit du nom de ta monitrice et que tu te retrouve, sans même réfléchir devant le prés où se trouve : Un hongre et sa sœur, deux avec et un sans "coucougnettes" et que tu te retrouve devant une bagarre de trois chevaux qui se battent et deux qui galopent heureux comme tout dans le champs.
Que tu décide de séparer l'hongre et sa sœur et que ta monitrice arrive pour tenter de séparer les trois bagarreur.
Et que finalement tout se termine bien, seulement des blessures superficiels avec ta monitrice qui as du mal à s'en remettre et toi qui ne sais que faire.
Que tes deux amies t'apprennent à toi et ta monitrice qu'un des poneys à cassé le champs des vaches et à fait la course avec elle pour ensuite s'arrêter au milieu du troupeau faire son crottin mais que finalement le poney as été attrapé et le champs rafistolé.
Que tu te rappelle de ce jour comme le jours le plus malchanceux et le plus effrayant de tout les temps.
J'ai eu la peur de ma vie, j'ai franchement cru qu'un des étalons ou l'ancien entier allait y passer.
Cela peut paraître irréelle mais je vous jure que cela c'est réellement passé comme ça, j'ai vraiment eu peur !
Édit : Oh je suis désolée pour tout le roman ! Vraiment, pardon !