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Mais en même temps, les cavaliers qataris sont loin d'être des grosses brèles. Ils montent bien, c'est propre, c'est bien fait et ils progressent vite. Ils ont Ian Tops comme entraîneur. |
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Oui, effectivement: en plus des chevaux, ils rachètent non pas les cavaliers, mais les meilleurs entraineurs. Toujours pareil: il y a des propositions qui ne se refusent pas, à moindre d'avoir un énorme problème idéologique avec celui qui propose le gros chèque ;)
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Chaque nation finance ses sportifs. C'est un choix politique quand on estime que le sport fait parti de notre rayonnement. Et c'est ce qui fait que les nations occidentales ont dominé la grande majorité des sports pendant longtemps: on avait plus pognon que les pays en voie de développement. Les choses changent parce que de petits pays ont plus d'argent à consacrer à ça ou prennent la décision d'investir dans le sport comme le Qatar qui y voit une forme de diplomatie. |
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Ça se voit énormément dans les autres sports: dans des pays comme la Chine, un exploit sportif est élevé au rang de fierté nationale, ces pays donnent beaucoup de valeur au rayonnement des performances humaines au travers du monde.
Pour nos sociétés occidentales, au contraire, le sport semble n'être plus qu'un loisir, du coup, il parait superflu d'y injecter énormément de ressources (temps, argent, infrastructures), car on estime qu'il y a d'autres priorités.
Résultat, les rares sportifs qui s'en sortent, pour la plupart d'entre eux, ils se sont fait seuls, sans beaucoup d'aides

(et AMHA, on rate beaucoup de talents, tellement ça peut être décourageant)