roukio
Je comprends tout à fait ta méthode et ne la remets pas du tout en cause, je soulignais le fait qu'elle soit hélas trop définie par le relief du terrain, ce qui n'est malheureuse pas donné à tous.
Je monte par exemple à Maisons-Laffitte, et en forêt de St Germain. Je n'ai aucune côte, aucune pente, c'est le plat pays à quelques kilomètres de la Belgique. Du coup, il faut trouver d'autres méthodes pour s'adapter au terrain.
La mienne, ça a été de travailler les réponses de mon cheval, et de travailler mon cheval tout-court. Dès qu'il tentait de me prendre la main, petit pli à gauche et il se rééquilibrait, se redressait et je pouvais reprendre la main.