Comment faire céder un cheval pour l'avoir rond?

bey tout dépend de tes mains et tes jambes et ta position

moi ma jument lors de la détente elle peut se mettre comme elle veut , mes mains sont ouverte et rênes longues,

une fois détente terminé j'ajuste, doigts toujours ouvert, puis je joue avec mes doigts et avec mes jambes j'envoie !une fois qu'elle commence a céder et bien se porter dos rond, je la félicite, si d'un coup elle remonte la tête et se creuse je ferme les doigts et je lui dit "non" des quelle cède je r'ouvre les mains et je maintiens avec mes jambes .


il faut faire la méthode confort / inconfort, mais si il se creuse souvent = douleur voir Ostéo , vérifié selle .

exercice : grand cercle petit cercle , incurvation ,cession à la jambe .

D'accord merci beaucoup!!

Pour le mien, j'ai repris l'habitude de le monter en mors (sans-mors sinon), et je veille à plusieurs trucs : avant de monter, je le fais marcher 5mn environ et je fais des arrêts fréquents où je lui fait exécuter des cessions à la mâchoires.
Je refais la même chose juste après avoir grimpé dessus, et encore plusieurs fois dans la séance.
ça lui permet de me donner sa bouche plus facilement.

A la détente, je ne demande pas spécialement une mise en main, je veux juste qu'il se détende un peu les jambes et qu'il échauffe son dos.

Tant que je ne l'ai pas bien au pas, je ne trotte pas ensuite pendant ma séance : huit de chiffre, cessions, déplacements latéraux, transitions sont mes alliés

Je vois bien la différence en quelques séances, d'un cheval la tronche en l'air tout le temps, j'ai de plus en plus souvent un cheval qui s'étend, se rassemble et pousse sur les postérieurs.



Je monte en mors à olive double brisure sans muserolle, ce qui me permet de surveiller mes actions de main :)

D'accord merci beaucoup

Coucou,

en effet l'incurvation facilite la mise sur la main. Tu dois avoir un contact permanent ferme et doux à la fois, les mains fixe au dessus de la bouche.
si il remonte la tête ferme des doigts sur les rênes et mets des jambes c'est le mouvement en avant et l'impulsion qui permettent la rondeur, si le cheval ne se propulse pas de derrière ça ne marche pas, ce que tu as devant est la conséquence de ce qui se passe derrière. Donc impulsion, contact et fais des cercles, des serpentines, des changements de main etc...

toiletteur64 a écrit le 02/01/2015 à 18h37: bey tout dépend de tes mains et tes jambes et ta position moi ma jument lors de la détente elle peut se mettre comme elle veut , mes mains sont ouverte et rênes longues, une fois détente terminé j'ajuste, doigts toujours ouvert, puis je joue avec mes doigts et avec mes jambes j'envoie !une fois qu'elle commence a céder et bien se porter dos rond, je la félicite, si d'un coup elle remonte la tête et se creuse je ferme les doigts et je lui dit "non" des quelle cède je r'ouvre les mains et je maintiens avec mes jambes . il faut faire la méthode confort / inconfort, mais si il se creuse souvent = douleur voir Ostéo , vérifié selle .

THE méthode pour avoir un cheval encapuchonné.

La chose la plus importante, c'est l'impulsion, sans impulsion, pas de "cheval rond", de "mise sur le mains" et j'en pense. Et attention, impulsion n'est pas égale à vitesse. Il faut que le cheval engage les postérieurs pour monter son dos et éventuellement, se poser sur le mors.

Et la, les méthodes sont toutes différentes, plus ou moins bonne.

Le secret ? Se faire encadrer.

Avant de chercher un cheval rond, il faut rechercher une bonne impulsion, un cheval "devant la jambe", qui engage. Commencer par une bonne incurvation, en travaillant sur des serpentines, des huit de chiffres, des cercles (avec varition sur le cercle), toujours avec une bonne impulsion.

Si tu pense à tes mains en "jouant avec tes doigts", tu as 90% de chance d'encapuchonner ton cheval en le poussant à fuir l'action d'un mors. La rondeur... si on veut l'appeler comme ça, viens de dernière, pas de devant.

Super merci beaucoup pour ces conseils !

itaku a écrit le 02/01/2015 à 18h52: THE méthode pour avoir un cheval encapuchonné. La chose la plus importante, c'est l'impulsion, sans impulsion, pas de "cheval rond", de "mise sur le mains" et j'en pense. Et attention, impulsion n'est pas égale à vitesse. Il faut que le cheval engage les postérieurs pour monter son dos et éventuellement, se poser sur le mors. Et la, les méthodes sont toutes différentes, plus ou moins bonne. Le secret ? Se faire encadrer. Avant de chercher un cheval rond, il faut rechercher une bonne impulsion, un cheval "devant la jambe", qui engage. Commencer par une bonne incurvation, en travaillant sur des serpentines, des huit de chiffres, des cercles (avec varition sur le cercle), toujours avec une bonne impulsion. Si tu pense à tes mains en "jouant avec tes doigts", tu as 90% de chance d'encapuchonner ton cheval en le poussant à fuir l'action d'un mors. La rondeur... si on veut l'appeler comme ça, viens de dernière, pas de devant.

voilà ça complète parfaitement ce que je disais

itaku a écrit le 02/01/2015 à 18h52: THE méthode pour avoir un cheval encapuchonné. La chose la plus importante, c'est l'impulsion, sans impulsion, pas de "cheval rond", de "mise sur le mains" et j'en pense. Et attention, impulsion n'est pas égale à vitesse. Il faut que le cheval engage les postérieurs pour monter son dos et éventuellement, se poser sur le mors. Et la, les méthodes sont toutes différentes, plus ou moins bonne. Le secret ? Se faire encadrer. Avant de chercher un cheval rond, il faut rechercher une bonne impulsion, un cheval "devant la jambe", qui engage. Commencer par une bonne incurvation, en travaillant sur des serpentines, des huit de chiffres, des cercles (avec varition sur le cercle), toujours avec une bonne impulsion. Si tu pense à tes mains en "jouant avec tes doigts", tu as 90% de chance d'encapuchonner ton cheval en le poussant à fuir l'action d'un mors. La rondeur... si on veut l'appeler comme ça, viens de dernière, pas de devant.

Complètement d'accord.

Y en a un peu marre de ces cavaliers qui se focalisent sur l'avant-main à tout prix !
On s'en fiche d'avoir un cheval placé, le principal est qu'il n'abîme pas son dos, dans un premier temps.
Et pour ça, il faut un cheval engagé, ligne du dessus tendue ! Les postérieurs sous la masse, et surtout pas de nuque lâchée, sinon le dos ne suit pas, et ça entraîne des douleurs cervicales...

ovalia a écrit le 02/01/2015 à 19h38: Complètement d'accord. Y en a un peu marre de ces cavaliers qui se focalisent sur l'avant-main à tout prix ! On s'en fiche d'avoir un cheval placé, le principal est qu'il n'abîme pas son dos, dans un premier temps. Et pour ça, il faut un cheval engagé, ligne du dessus tendue ! Les postérieurs sous la masse, et surtout pas de nuque lâchée, sinon le dos ne suit pas, et ça entraîne des douleurs cervicales...

ah ça aussi j'aime, j'aime, j'aime!

ovalia a écrit le 02/01/2015 à 19h38: Complètement d'accord. Y en a un peu marre de ces cavaliers qui se focalisent sur l'avant-main à tout prix ! On s'en fiche d'avoir un cheval placé, le principal est qu'il n'abîme pas son dos, dans un premier temps. Et pour ça, il faut un cheval engagé, ligne du dessus tendue ! Les postérieurs sous la masse, et surtout pas de nuque lâchée, sinon le dos ne suit pas, et ça entraîne des douleurs cervicales...

C'est clair.

Et puis il faut faire en fonction du cheval, de son passé et notre objectif.

Mon objectif premier pour le mien, ce n'est pas de rechercher une attitude ronde, mais juste. Il a la tête en l'air très souvent, mais se méjuge naturellement.
J'utilise donc cette impulsion naturelle pour l'inciter à allonger son encolure sans trop reporter de poids sur l'avant-main.
Plus tard, si nous en sommes capable (lui physiquement et moi techniquement), on visera la nuque en point le plus haut.

Avec ma jument on est aussi passé par plusieurs étapes avant d'obtenir le placé le plus juste. On a d'abord travaillé à lui faire utiliser son dos correctement qu'elle tire sa ligne du dessus tout en ayant un meilleur engagement des postérieurs, il a fallu améliorer ses allures la faire gagner en amplitude et non en vitesse. Au début on travaillait bas et rond et maintenant on a relevé la nuque sans qu'elle me lache la main. La nuque ne doit jamais être plus basse que le garrot. On a parfois l'impression qu'un cheval est sur la main mais souvent il n'est pas franchi sur son mors, c'est juste de l'illusion...
Et ça in faut du temps et beaucoup de travail encadré par un pro, je crois que c'est la meilleure des solutions ;)

myrific a écrit le 02/01/2015 à 20h55: C'est clair. Et puis il faut faire en fonction du cheval, de son passé et notre objectif. Mon objectif premier pour le mien, ce n'est pas de rechercher une attitude ronde, mais juste. Il a la tête en l'air très souvent, mais se méjuge naturellement. J'utilise donc cette impulsion naturelle pour l'inciter à allonger son encolure sans trop reporter de poids sur l'avant-main. Plus tard, si nous en sommes capable (lui physiquement et moi techniquement), on visera la nuque en point le plus haut.

La dernière fois que j'ai demandé à Prince des extensions d'encolure, il en a profité à mort !! C't'enfoiré à choppé le mors, collé le nez entre les genoux et c'était partie pour un rodéo joyeux XDXD

Blague à part, c'est bien mieux de cherche ce genre d'attitude que la rondeur à tout prix. Parce que la rondeur pour la rondeur, ça n'a aucun intérêt autre qu'esthétique et encore... Un cheval encapuchonné est rond, mais il ne tend rien et "casse sa nuque", mieux vaut un cheval un peu ouvert, mais bien engagé avec un dos tendu plutôt qu'une cheval dit "rond" et le dos creux.

Donc, penser avant tout à l'impulsion. Personnellement, j'ai appris à pousser mon cheval vers la bonne attitude pour son dos... sans les rênes. Pour justement arrêté d'être accroché à la bouche et risquer de pousser au point d'encapuchonner.

C'est vraiment THE piège aujourd'hui de cette obsession d'avoir un cheval rond.