0 j'aime
Abandon cheval et problème de papiers
Posté le 28/04/2015 à 15h22
Ne confondez pas tout. il n'est pas question de critiquer l'élan de pitié en lui même mais bien de dire que les choses ont été très mal faites et que le premier et unique responsable, c'est le gérant.
Faut que vous compreniez une chose, factures payées ou pas, un détenteur est dans l'obligation de donner tous les soins indispensables au cheval qu'il a sous sa garde. Même si ce gérant a pondu une clause stupide et foireuse qui ne peut en aucun se substituer à ses obligations vis à vis des hébergés!
En clair, ce cheval n'était techniquement pas abandonné, c'est le gérant qui a fait défaut à son obligation de soin et de traitement du cheval.
Ensuite ce qui est malheureux, c'est qu'en ayant agit de la sorte, le gérant, puis l'amie qui a pris le cheval sous son aile, ont saboter un possible sauvetage du cheval.
Il existe des recours pour les impayés mais aussi l'implication des tribunaux et des associations pour déterminer l'abandon et le sort du cheval. Si les choses avaient été bien faite par tout le monde, le gérant aurait obtenu une mise en demeure de paiement sans problème, voir définit un échelonnement et s'arranger avec le proprio pour une cession ou une mise sous tutelle d'une association pour le soulager de ses obligations financières et l'amie aurait pu s'en occuper voir le récupérer de cette façon.
Et puis pas de signe de vie, quand c'est pour des relances de factures ou autres personne ne donne signe de vie, mais quand on laisse u répondeur ou un courrier pour proposer un arrangement dans l'intéret du propriétaire en difficulté, je doute que ça reste lettre morte.
Faire les choses dans l'ordre aurait simplement permis au cheval de retrouver de la dignité, au gérant d'être payé et au proprio d'être soulagé. gagnant/gagnant!! Quel dommage de ne pas avoir procédé comme ça mais dans tous les cas, en attendant que ça se décante, le gérant avait l'obligation de subvenir aux besoins du cheval dans leur intégralité. C'est lui le coupable de cet "état d'abandon".