L'équitation de demain, ses évolutions ?

lelaitage j'aime ta vision, l'optimisme, ça ne fait pas de mal

museane j'avoue qu'on s'en rapproche !

Le système d'Annerobert, ce sont des cavalettis montés sur un système de bascule. Ca permet de ne pas avoir à descendre de cheval pour les remettre en place si il les touche.
Mais bon, ce n'est pas le système de chandeliers à hauteur de barres radios commandées qui suscite l'intérêt de certains.

Personnellement, je suis certain que dans les 30 ans qui viennent, on aura de nombreuses évolutions technologiques sur les équipements (gros et petits) qui seront de nature à véritablement améliorer la sécurité, le confort et les performances du cavalier et des professionnels du cheval.

En tous les cas au niveau véto c'est juste hallucinant d'année en année les progrés de fou!

Quand je vois mon véto avec ses appareils qui se branchent directement sur son smartphone pour faire un fond de l'oeil !

Wahou c'est genialissime et toutes les avancées en terme de cellules souches !

J'aime a croire que c'est un futur possible. mais va falloir que les mentalités changent!

Arrêter de nous entasser dans des villes, laisser les gens gérer leur emploi du temps, plus de flexibilité, retour de la proximité, petits commerces eco-responsables. Raccourcir les chaines alimentaires et autres. Privilégier la qualité a la quantité (manger moins de viande par exemple, pareil pour certains fruits/légumes exotiques, manger plus de saison).

Je ne comprends pas toujours ce qu'on cherche. Enfin au début l'homme s'est socialisé pour justement réduire la pénibilité, améliorer sa sécurité et en gros réduire sa charge de travail. On en est rendu a travailler de plus en plus avec du coup plus de chômeurs pendant que les bénéfices explosent et échappent a toute taxe et engraisse des milliardaires qui ne savent pas quoi faire de leur argent...je schématise mais quel intérêt pour qui que ce soit???!

Je parlais des gadgets.

Pour l'histoire, la dernière évolution significative, c'est l'abandon du cheval en tant qu'arme de guerre. C'est à la suite de cela que sont nés les sports équestres (les militaires ne savaient plus quoi faire de leurs chevaux) et, dans la continuité, l'ouverture de ces sports à la société civile. ça fait plus d'un siècle, maintenant.

Tiens, pour ceux qui lisent l'anglais dans la ligne des evolutions qui vont pas dans le sens attendu...dans le mauvais sens quoi:
http://strikemag.org/bullshit-jobs/

Et moi je vois ce qui existe déjà : la raréfaction des terres disponibles rendant pratiquement impossible l'acquisition, par un particulier, de plus de 5.000 mètres carrés !

Bah cela dépend largement des régions en fait , si tu es prêt à bouger tu peux tomber sur des perles ( en Gironde par exemple ! Dordogne ! )

Ca dépend où! C’est bien ca le souci, faut mieux repartir. et en fait ca se trouve, c’est aussi une question de prix et bien sûr d'arrêter une agriculture malsaine in-productive qui mieux gérée serait plus efficace, plus rentable et moins polluante et ainsi libérer plus de terres pour diversifier!
et tout le monde ne rêve pas d'avoir 3hectares non plus, la plupart des gens (non-équitants) ne souhaitent pas avoir plus de 500-1000m2

la difficulté de nos jours c’est de trouver une terrain près d'une "ville" pour pouvoir « aller bosser » d'où la nécessité de changer de paradigme sociétal

Si on part du principe simple selon lequel, à ce train là, dans 30 ans la planète n'est plus capable de nourrir tout le monde, alors nous allons vers la "réquisition" de la moindre parcelle disponible. Pour l'instant, c'est le cas dans toutes les régions de "grande" agriculture, c'est à dire celles qui sont faciles d'accès et faciles à travailler.
Mais à terme ce seront toutes les régions. Si vous voulez vous faire un capital, achetez des terres agricoles, leur valeur n'arrête pas de monter partout.

Principe tres pessimiste et tres Malthusien de y a plus de 200ans, alors 30ans.... de toutes façons si tu veux etre pessimiste effectivement la c'est plus de chevaux du tout ou alors vraiment pour une très très riche élite.

Mika a bien répondu.
c'est des cavaletti "culbuto". Si le cheval touche, ça se couche, mais se relève aussitôt. Mais comme tout système de culbuto, c'est basé sur un centre de gravité bas, donc ne peut se faire que sur des petites hauteurs (ou alors il faudrait un socle énorme, ce qui remettrais en cause la sécurité, et serait difficile à mettre en place).

Je connais pas mal de cavaliers et de cavalières qui fonctionnement selon le même principe : pas bien hauts, le centre de gravité trés bas et qui se relèvent toujours !

Voir ce poste m'a fait des frissons...

Vos suppositions rendrait la pratique de l'équitation quasi-impossible sauf si on est millionnaire, et la question de l'éthique ne se poserait même plus, ce mot n'existerait plus.

Franchement, ça fait peur.

Je suis d'accord avec "je ne sais plus qui, désolée", on ne sait pas comment notre planète va évoluer. Là, on imagine la poursuite de l'augmentation des progrès scientifiques sur la lancée de ce qu'ils sont maintenant (voire en augmentation exponentielle) dans nos pays riches et (relativement) en paix. Mais que sait-on du facteur humain imprévisible? Il suffit d'une guerre massive, de quelques bombes nucléaires, d'une montée soudaine des nationalismes débouchant sur des dictatures, d'une augmentation plus rapide ou plus forte des effets des bouleversements climatiques, d'un effondrement économique pour diverses raisons possibles... et toutes les prévisions sont à revoir. Le chemin changera de direction.

Sinon, je vois deux extrêmes possible: la robotisation, informatisation à outrance, avec des villes "intelligentes", des trucs qui font tout à notre place mais un hyper rationalisme qui conduira à tout rentabiliser au maximum (et dans ce cas, adieu équitation, chevaux, et même animaux de façon globale, à part peut-être dans quelques petites réserves ou pour les très fortunés).
Un choix de cesser cette course éperdue, la décroissance (volontaire ou non), un retour au source ou en tout cas à plus de naturel où le cheval pourrait, pourquoi pas, retrouver une place de choix, plus importante qu'aujourd'hui.