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Basé sur éthologie quoi faire ?
Posté le 30/06/2016 à 14h34
moncoeurm Alors je veux pas te secouer, mais il faut redescendre sur terre je crois. Deux métiers, ça arrive, mais c'est pas forcément la bonne solution. Déjà parce qu'il faut que tu en trouves deux, et crois-moi par les temps qui courent, en trouver un c'est déjà chaud. Et ensuite, parce qu'il faut que tes patrons soient OK pour que tes emplois du temps s'entrelacent. Et ça aussi, c'est pas gagné du tout.
Pour ce qui est du métier autour du monde du cheval, pas facile d'aller y gagner correctement sa vie malheureusement, et encore moins si l'on ne fait pas les métiers "trop fatigants" comme palefrenier, soigneur, groom, maréchal, etc. Reste moniteur, mais on en voit fleurir des tonnes sortant tout juste de formation, et je pense qu'avec le nombre important qu'il y a sur le marché, c'est pas forcément facile de bien gagner sa vie. Reste aussi véto, mais de longues années d'études, et tu as dit que ça ne t'intéressait pas. Il ne reste donc plus grand chose dans le monde du cheval pour correspondre à tes exigences/attentes.
Egalement, à propos du fait d'avoir un cheval. C'est le rêve de tout cavalier passionné, on le sait tous. Simplement un cheval, ça s'entretient, et ça coûte de l'argent. Argent, qu'il faut donc gagner. Comme dit précédemment, dans le monde du cheval, les métiers sont souvent physiques, difficiles, très prenants niveau temps, et pas toujours très bien payés. En bref, avoir un cheval dans ces conditions-là, c'est pas la meilleure solution. De plus, j'ai souvent entendu/lu sur le forum, des personnes travaillant justement dans le monde équestre déconseiller à d'autres ces métiers-là car à la longue, les conditions de travail les ont dégoûtées (patron désagréable ou pire, pas de paie à la fin du mois, travail éreintant, pas de temps pour soi ni pour son cheval, pas envie de s'occuper de son cheval après une journée à s'occuper de ceux des autres...).
En conclusion, car je vois déjà que j'ai écrit un pavé (sorry), personnellement je pense qu'il vaut mieux s'intéresser à un autre métier sans rapport avec le cheval, bien y gagner sa vie, pour pouvoir assumer correctement un cheval comme il le mérite et se faire plaisir avec en parallèle.