@baronnette
J'ai simplement réagit au commentaire d'Elodie qui est franchement to Much et absolument inutile.
Je garderai mon frontal car adapté au front de mon cheval il ne le gêne pas et participe à la stabilité de celui ci.
Maintenant j'ai déjà vu une de mes Dp avec la dure mère inflammatoire qui ne supportait plus le frontal. On est d'accord que c'est un cas particulier mais c'est aussi pour ça qu'il faut s'adapter à chaque cheval et ne pas beugué sur le "ça n'a pas d'incidence".
je ne te répondais pas à toi, c'était une généralité (même si mon message arrivait juste après le tien)

Quant à ton exemple, en réalité, même si je suis d'accord, il n'a rien à voir avec le sujet, dans le sens où c'est un cas pathologique. En ce cas, ce n'est pas en soi le frontal le problème... mais le cheval malade. Une pathologie ne doit pas servir d'excuse pour généraliser pour les individus bien portants (là aussi, c'est une généralité. Ce n'est réservé ni au frontal, ni au cheval. Mettons par exemple: il y a des personnes, très rares, atteintes d'urticaire aquagénique. Ce n'est pas pour autant que tout le monde doit arrêter de se laver ou que l'eau est mauvaise pour l'humain. Ce sont ces personnes qui ont un problème). Donc, je maintiens, avec un individu lambda (et pas atteint d'un trouble particulier), le frontal (adapté, évidemment) n'a pas d'incidence
En ce sens, même le ton est à revoir, je comprends la réaction d'Elodie. Ce côté du "on enlève tout" devient parfois excessif, justement parce qu'il y a une sorte de généralisation d'un cas particulier à l'ensemble. Si on en vient à considérer qu'un simple frontal gêne (ce qui est bien différent de certains enrênements ou attitudes montées, par exemple, qui peuvent causer de véritables douleurs au cheval même bien portant), il faut arrêter de monter, car d'autres éléments gênent beaucoup plus.