Citation :
Pour rappel la question portait sur le choix d'un cheval, pas sur son mode de vie.
Impossible de dissocier les 2 sujets lorsqu’on envisage de devenir propriétaire.
Citation :
Il est juste dit que bcp de chevaux au travail (quelque soit le niveau) vivent en boxe, ce n'est pas pour autant qu'ils ne sortent pas en journée et sont des chevaux malheureux.
Faux. La vie en box avec pour seule sortie la séance de travail est inadaptée aux besoins fondamentaux du cheval. Tant pour sa santé physique que mentale. Croire le contraire c’est être dans le déni pur et simple.
Un cheval n’est pas heureux d’être enfermé, de n’avoir aucun échange social avec ses semblables, que son seul moment de libération soit conditionné à exécuter chacun de ses mouvements sur ordre d’un cavalier assis sur lui. Même s’il a de jolies couvertures, une super bouffe de chez machin chose, un bon véto, un bon ostéo, une belle selle, des belles protecs et plein de jolies plaques colorées clouées sur sa porte de prison.
Si on est incapable de prendre en compte le bien-être du cheval, autant s’abstenir d’en avoir un. Et autant même s’abstenir de lui monter dessus.
Peu importe si la réflexion est rapide, si c’est une fuite ou autre, pour ma part, si des lecteurs passent et se posent les mêmes questions, je souhaite juste qu’ils aboutissent à la même conclusion : renoncer.
Citation :
Dans l'absolu et dans l'idéal, je préférerais aussi les laisser vivre au prè, sans interaction avec l'humain et leur offrir une vie en troupeau, protègés des prédateurs avec juste des soins suffisants pour qu'ils n'aient à souffrir de rien. Cela supposerait de supprimer l'équitation, l'ethologie et limiter le plus possible les contacts humains qui, tout compte fait, ne leur apportent pas grand chose de positif mais plutot contribuent à les dénaturer.
Supprimer l’éthologie ???? Tu ne sais donc pas ce que c’est
Passer d’un extrême à l’autre pour justifier l’indéfendable c’est la tactique des ignorants.
Les collaborations inter-espèces existent sans les humains. Chacun y trouve un intérêt qui va au-delà de l'intérêt individuel. Ceci est de l'éthologie. "Souffrir de rien", comme tu dis, n'a d'ailleurs rien de naturel. Jusqu'à un certain point la domestication répond à cette notion d'intérêt réciproque... Jusqu'à un certain point... c'est à dire tant qu'on ne réduit pas l'animal avec qui on interagit à une matière première ou un objet de distraction sans lui accorder suffisamment d'empathie.
michiwa n'a pas des idées bien arrêtées, seulement une connaissance plus juste que la tienne de l'éthogramme équin.