Oui c'est clair que la communication n'est pas à négliger. Mais j'ai aussi remarqué que le bouche à oreille en faisait beaucoup aussi. Bon, après il ne vaut mieux pas compter que sur ça, à moins d'avoir un très gros réseau.
@miroir4655
C'est vrai que c'est plus ce qui me fait peur, de ne pas le vendre au moment voulu, après c'est de "l'élevage" (enfin à mon niveau c'est un gros terme) et tout ne se passe pas comme prévu. Je suis consciente que le poulain prendra toujours plus de "valeur" en grandissant. En fait c'est le point qui me bloque, la peur de devoir le brader parce que je n'arrive pas à le vendre.
J'ai beaucoup réfléchis quant-à la responsabilité que c'est de faire reproduire, autant pour la mère et le bébé. Et je pense que de ce côté, il y a des moyens de limiter les risques (même si encore une fois tout ne se passe pas forcément comme prévu).
Je pense qu'en "débutant" c'est pas toujours évident de faire naître un poulain qui sorte de l'ordinaire, après j'ai déjà quelques idées, mais je ne sais pas si ce sera suffisant.
D'après toi, quel est le coût de garder, et d'entretenir un poulain entre sa naissance et ses 2-3 ans? Sans parler du coût de la production de ce dernier
andreaquartz
La communication n'est certes pas à négliger...., le bouche à oreilles non plus, mais pour que cela marche, la chose primordiale est quand même la qualité de tes poulains!
C'est elle et uniquement elle qui va te permettre de vendre.... et ce, quelque soit la qualité de ta communication. Quant au bouche à oreilles....il se fait à double sens....
Si tu as l'intention de démarrer avec le moins de "risques", (et je ne dis pas "sans le moindre risque...), oriente toi vers une jument déjà sélectionnée et qui a fait "ses preuves" en tant que poulinière...: jument facile à "remplir", qui mène à bien ses gestations, qui pouline "facilement" qui a du lait et qui élève "intelligemment" un beau bébé..., cela te facilitera les choses.
Quant au coût pour élever, je rejoins les remarques de
plume29 et cela dépend de très nombreux facteurs...
Pour ma part, terres et infrastructures amorties (mais travaux conséquents de restauration et entretien tous les ans..), chevaux vivants majoritairement à l'extérieur dans de très grands parcs avec des hangars pour s'abriter, bon an mal an, je m'en tire pour environ 800/1000 euros, en produisant foin et paille. Nos chevaux sont nourris de façon "traditionnelle", herbe (vastes pâtures semées pour une production d'herbe de qualité adaptée aux besoins des chevaux, régulièrement hersées, girobroyées et "ébousées", ce qui représentent un côut important, mais conditions indispensables pour nourrir "à l'herbe" pendant la belle saison) , foin et orge, + bien évidemment CMV et compléments, vermifuges....et nous avons nos propres étalons.