Je n'ai pas eu le courage de lire les deux dernières pages, mais une remarque de la page 2 me donne envie d'intervenir !
Certes, dans la nature un cheval est non ferré, et il s'en contente parfaitement ! Mais ce qu'il faut aussi penser, c'est que dans la nature, il se déplace beaucoup plus que dans son pré, sur des terrains très variés. Le parage se fait alors naturellement.
Et en plus de ça, la sélection génétique tend à transmettre de bons pieds : bons pieds = bonne santé = longue espérance de vie et donc reproduction avec transmission du caractère bons pieds (en gros quoi).
À partir du moment où l'homme intervient, on modifie les conditions de vie du cheval, donc l'usure et les "épreuves" auxquelles la corne est soumise. En plus de ça, on sélectionne pour la reproduction, et sur d'autres caractères que celui "bons pieds"
Partant de ce constat je pense que le maître mot c'est l'adaptation. On s'adapte aux pieds de notre bestiole et à ses besoins. On modifie son environnement et sa génétique, la moindre des choses c'est de s'adapter à ses besoins.
En somme, je ne pense pas que le fait de ferrer ou non soit une affaire de leur grimper sur le dos ou pas, mais plutôt une affaire que nos loulous n'ont plus grand choses des chevaux à l'état sauvage .