Ecurie dans la déroute

@rico59 si l'autre écurie est intéressée, ta fille peut utiliser ses CP acquis pour réduire son préavis et démarrer quasi de suite dans l'autre écurie...
C'est combien de mois le préavis ?

@rico59 @rico59 il y a autant de réponses que de cas de figure.
Mais voici mon sentiment personnel, à adapter à votre situation et votre sentiment car je ne vis pas votre histoire.
Votre fille si elle a bon niveau et veut rester dans ce métier a tout intérêt à démissionner et aller dans une autre écurie puisqu'aparemment, elle a cette opportunité et c'est une chance.
Ce n'est pas normal me direz vous, je vous rejoins complètement dans le fond, il y a des lois dans ce pays mais de mémoire, je n'ai pas vu longtemps dans le métier les salariés de l'équin qui partaient en guerre "pour si peu".
Non pas que je minimise mais si votre fille a déjà la suite en vue et que l'écurie qu'elle quitte est ric rac, autant la quitter en bon terme pour s'en assurer les bonnes grâces lors de recrutements futurs et partir en démissionnant. S'ils ne souhaitent pas payer les CP, qu'elle les prennent durant son préavis, c'est aussi simple non ?
Si vous estimez en revanche qu'elle subit des pressions ou un large piétinement de ses droits, ce sont les prud'hommes qu'il faut solliciter.
Mais ici qu'elle demisionne ou se fasse licencier, ça ne change rien pour elle puisqu'elle a une suite en vue.
Ici, je relativiserai quand même.
Dans ce métier il y a matière à rappeler la loi, abus, harcèlement, temps de travail anormal, jours de congé inexistants etc... sont autant de combat qu'il faut mener mais j'avoue que j'ai du mal à comprendre que vous teniez à un licenciement alors qu'elle a déjà une sortie de secours et peut être d'autres en cherchant bien.

Si elle a une autre opportunité d'emploi elle aurait plutot interrêt a faire un abandon de poste. Elle garderait tous ses droits juridiques et béneficierait d'un solde de tous compte (dont les congés payés) au bout de 60 jours après abandon.
Pas de préavis a faire.

@rico59 Et je vais même vous dire, le pire patron que j'ai eu, un cavalier de renommée mondiale (80h, pas le temps de manger, pourri toute la journée, logement insalubre ouvert à tous vents, payé quand ils avaient le temps et virée pour faute parce que c'était plus simple, juste envie d'embaucher une autre tête pour changer ...)
bin c'est aussi celui grace auquel je n'ai jamais connu le chômage et que j'ai beaucoup et très vite évoluée dans mes postes.
Dès qu'un employeur potentiel appelait il ne tarrissait pas d'éloges sur mon travail.
Son nom sur mon CV c'est ma garantie d'avoir toujours un job bien payé et des responsabilités. Parfois faut en passer par là, comme les médecins durant leurs études. Le monde des chevaux est dingue

Tout à évolué et pas forcément dans le bon sens.
S'il parait que les conditions de travail évoluent pour les salariés (perso je ne trouve pas mais bon...)
Aujourd'hui il y a aussi des cas où certains vivent ce que décrit ecuriessaglini, l'employé(e) ferme sa.... et le patron le/la pourri derrière quand même...
Je pense même que c'est pire qu'il y a quelques années.
Les systèmes et principes de recrutements utilisées sont assez obscures dans certaines régions, il y règne des pratiques assez nauséabondes.