Lecteurs : vos avis, vos lectures, vos chroniques

Quelques livres lus récemment :
Reykjavik : le polar islandais, pas mal. Il y en a d’autres, à lire sans prise de tête.

Agatha Christie : j’ai relu ils étaient dix, et le crime de L’orient express. Je me souvenais du premier, pas du tout du second, trop bien ! Un classique !

Sur tes traces, de Harlan Cohen. Moui. Pareil, lecture pas prise de tête, intrigue ok, et au moins y’a pas le personnage de Myron !

Nos pères, nos frères, nos amis.. sur les hommes violents. Très intéressant. J’aurais bien aimé quelque chose de plus approfondi sur la violence, de plus scientifique, ou psychologique .. à chercher ailleurs, mais le livre reste très bien et je recommande à tout le monde de le lire. Ça se lit vite en plus.

J’ai commencé La Valse aux adieux de Kundera. J’adore ce que j’ai lu de cet auteur, l’insoutenable légèreté de l’être et risibles amours. Une fois les livres finis j’oublie l’intrigue. Il a fallu que je lise le premier au moins 3x pour avoir un souvenir durable. Mais j’adore l’atmosphère, j’adore la sensibilité, les relations qu’il décrit, c’est touchant, fort, vraiment jadore. À voir celui que je commence :)

Récemment je suis tombée sur « les derniers géants » à la bibliothèque

C’est sur la coupe des séquoias en Californie dans les années 70, au moment de la création des parcs nationaux. Donc ça aborde les conflits gens du coin et enjeux économiques (de couper les arbres), et les gens « d’ailleurs » qui viennent défendre les forêts, et prise de conscience/lutte contre l’utilisation des herbicides car à priori à l’époque c’était utilisé à tout va

Mais aussi j’ai trouvé super interessant car ça aborde le rôle des femmes dans la société américaine de l’époque avec majoritairement des profils de femmes au foyer, ou seules, questions d’avortement etc.

Ça reste un romans donc tout n’est pas tout juste mais trouvaille fort intéressante

Quelques livres lus récemment :
Reykjavik : le polar islandais, pas mal. Il y en a d’autres, à lire sans prise de tête.

Agatha Christie : j’ai relu ils étaient dix, et le crime de L’orient express. Je me souvenais du premier, pas du tout du second, trop bien ! Un classique !

Sur tes traces, de Harlan Cohen. Moui. Pareil, lecture pas prise de tête, intrigue ok, et au moins y’a pas le personnage de Myron !

Nos pères, nos frères, nos amis.. sur les hommes violents. Très intéressant. J’aurais bien aimé quelque chose de plus approfondi sur la violence, de plus scientifique, ou psychologique .. à chercher ailleurs, mais le livre reste très bien et je recommande à tout le monde de le lire. Ça se lit vite en plus.

J’ai commencé La Valse aux adieux de Kundera. J’adore ce que j’ai lu de cet auteur, l’insoutenable légèreté de l’être et risibles amours. Une fois les livres finis j’oublie l’intrigue. Il a fallu que je lise le premier au moins 3x pour avoir un souvenir durable. Mais j’adore l’atmosphère, j’adore la sensibilité, les relations qu’il décrit, c’est touchant, fort, vraiment jadore. À voir celui que je commence :)

badmonster
Je suis ravie de ne pas être la seule à avoir une dent contre Myron J'ai lu un seul Harlan Coben, suis tombée sur un avec Myron, et c'est fini, je suis vaccinée



(Je retourne dans mon sous-marin )

En ce moment je lis "Le grand roman des maths" de M.Launey. Je n'attendais pas grand chose de ce livre et au final je suis agréablement surprise. J'avais déjà lu quelques ouvrages de vulgarisation en maths, mais qui ne me convenaient pas trop pour plusieurs raisons : soit vulgarise mal à mon goût, soit vulgarise pas assez (je suis une vraie quiche en maths), soit trop de texte soit trop de calcul.
Bref je trouve que ce livre est pas mal, car il nous prend vraiment par la main et il reprend l'histoire des maths, mais sans trop détailler non plus mais on apprend quand même des choses. Je trouve qu'il aborde les choses sous un angle un peu différent, nouveau, mais je ne saurais pas expliquer comment.
Ca s'adresse je pense plus à des gens nullissimes en maths comme moi, mais même les autres peuvent y trouver un peu leur compte je pense (notamment pour apprendre/réviser l'histoire des maths).

Je viens de finir La valse aux adieux, de Kundera... Je l'avais acheté par hasard en flanânt en librairie.. Je ne m'attendais pas à ça ! A la fois vaudeville et tragédie, je ne l'avais pas vu venir. Je cite Elizabeth Podocha, qui a écrit la préface de l'édition américaine (je n'ai pas lu l'édition américaine, ni sa préface, mais il y a cette citation sur la 4ème de couverture ), que je trouve bien plus pertinente que moi : "Il est difficile d'imaginer quelque chose de plus glaçant et de plus profond que la légèreté apparente de Kundera.".

J'ai piqué d'autres polars de l'auteur islandais à ma maman pour changer un peu de style, mais je crois que je continuerai à lire Kundera après.

J'ai eu ma période Kundera début des années 2010, ça fait un bail... Il y a un an je suis retombée sur L'identité en faisant des rangements, j'en ai profité pour le relire, je te le conseille. L'auteur s'y est amusé à semer le trouble dans l'esprit du lecteur, à un moment on ne sait plus démêler le vrai du faux , la réalité et l'imaginaire...

J'ai lu deux classiques récemment :

- Les frères corses de Dumas, j'ai apprécié l'écriture et l'intrigue d'autant que ça se passe en Corse et l'auteur évoquait les mœurs locales comme les fameuses vendette.

- Mémoires de deux jeunes mariées de Balzac. C'est une correspondance entre deux jeunes amies ayant quitté le couvent. L'une rejoint son futur mari et sa famille en Provence tandis que l'autre rejoint ses parents dans le "grand monde" à Paris. La première prône les valeurs du mariage et l'élévation sociale et la seconde se met en quête du "Graal" ou d'un amour passionné voire passionnel. C'était intéressant de voir que Balzac, s'il se pose en défenseur de la condition des femmes en a tout de même une conception assez personnelle si on se place d'un point de vue plus actuel. Pour lui les femmes devaient accéder à davantage de libertés et de considération, néanmoins elles ne pouvaient être l'égale des hommes.

En ce moment je lis Le corps n'oublie rien - Le cerveau, l'esprit, le corps dans la guérison du traumatisme de Bessel Van Der Kolk qui est un psychiatre américain spécialiste du syndrome de stress post traumatique. Je suis presque au bout, je trouve ça passionnant...

badmonster si tu aimes les polars islandais je te conseille Arnaldur Indridason. Les intrigues ne sont pas prépondérantes, ce sont bien les personnages les plus importants.
Avec ses romans j'ai appris un peu sur l'histoire de l'Islande, j'ai vraiment aimé.

cherchour oh je crois qu'il me plairait bien ton roman sur les sequoia


J'ai lu dernièrement deux livres très différents mais qui m'ont "marquée" , de façon très différente.

Le premier Refuge de Terry Tempest Williams. Ce n'est pas un roman mais un récit. Passionnant , empli d'amour et d'humanité.
L'auteure travaille dans un muséum dh'istoire naturelle ou quelque chose comme cela dans l'Utah. Elle est momon (ou mormone ?) comme beaucoup des habitants de cet état. J'ai également appris que Salt Lake City doit son nom...à un grand lac salé. Ce las est le lieu de refuge et de repos de très nombreux oiseaux, migrateurs ou non.
Terry les observe. Et son récit se passe en 1983 -84. A ce moment là le lac subit une crue très importante. Elle décrit l'effet de la crue sur les oiseaux.
Et dans le même temps sa mère apprend qu'elle est atteinte d'un second cancer qui lui sera fatal.
L'auteur décrit la maladie de sa mère, son propre rapport à sa mère et à sa maladie. Comment elle l'a accompagnée, jusqu'au bout.
Cela m'a infiniment touché par mon histoire personnelle. C'est un très beau et très intéressant livre.
Pour qui ne craint pas la description détaillée de la fin de vie je recommande vraiment.


Le second n'a rien à voir, si ce n'est que c'est également un auteur américain et que cela se passe également aux Etats Unis, mais pendant la guerre de Sécession. La Poudre et la Cendre de Taylor Brown.
Pour faire court deux adolescents, un garçon de 12 ou 13 ans expert dans le vol, en particulier de chevaux et une fille de 17 ans fuient dans le pays ravagé par la guerre une bande de Sécessionniste hors la loi.
Ils fuient sur un cheval volé. C'est mené avec beaucoup de descriptions de la nature qu'ils traversent, sauvage , hostile. Mais aussi beaucoup de descriptions de la violence humaine.
J'ai failli le laisser tomber assez vite. Pas envie de toute cette violence.
Et puis j'ai été happée par ce récit, embarquée avec ces deux jeunes sur le dos de leur cheval, le bien le plus précieux qu'ils avaient. J'ai voulu savoir comment cela finissait....je ne sais pas si je vous divulgache la fin ?


J'espère passer à plus calme...mais j'ai comme un doute

rooibos merci pour la reco je note !

Je trouve que Balzac a une grande sensibilité et que les personnages féminins sont bien écrits. Dans le contexte de l’époque évidemment. Je pense à La Femme de trente ans par exemple.

Quand on voit les personnages féminins écrits par certains auteurs encore aujourd’hui, au secours +++

globs merci pour le reco aussi je regarderai !

J’ai dévoré la trilogie de Ragnar Jonasson. Ce qui est original c’est qu’elle est construite « à l’envers », on recule dans le temps au fil des tomes. Le rythme est bon, les histoires s’entremêlent efficacement, l’ambiance des paysages islandais participe au suspens .. l’auteur nous balade.

Après être tombée dans une faille Agatha Christie pendant les vacances, j’ai commencé La Promessz de l’aube, de Romain Gary. C’est beau, c’est puissant. Je lis certains passages et je me demande comme d’autres ont pu écrire depuis car tout est dit.

Je me souviens avoir lu un extrait, dans un livre de français, en primaire, ou au début du collège peut être ? La scène avec le biftek. Je ne me souvenais plus qu’elle venait de ce livre, mais elle m’avait marquée.

badmonster
La promesse de l’aube fait partie de mes lectures marquantes. Le genre de livre qu’on voudrait ne pas avoir encore lu pour pouvoir le découvrir à nouveau

Ici hier soir je suis retombée dans Jane Eyre un peu par hasard : le livre était tombé, je l’ai relevé… résultat : pas réussi à le fermer, endormie à 2h30 et encore, comme je le connais par coeur, je saute les passages que j’aime un peu moins (histoire de garder quelques heures de sommeil)

Sinon dans mes lectures récentes, j’ai bien aimé La librairie disparue, de Evie Woods. Difficile à résumer, l’histoire de la vie de deux femmes, l’une au début du XXeme siècle, l’autre de nos jours, dont les destins se croisent autour de l’amour des livres et de l’histoire d’une mystérieuse librairie.

Et La psy, par la même autrice que La femme de ménage : dans la même veine, avec un switch final un peu téléphoné mais ça fait bien le job : ça tient en haleine et ça se lit facilement.

J’ai fini La Promesse de l’aube. J’ai pleuré une ou deux fois. Je ne peux que conseiller cette lecture +++.

Je comprends mieux pourquoi et comment Les Racines du ciel aussi a été écrit.

Je regrette d’avoir été attendu aussi longtemps pour lire ce livre comme le dit elea2008 j’aimerais ne pas l’avoir lu et le redécouvrir.

J’ai lu La Prof de l’autrice de la femme de ménage. Après Romain Gary forcément elle souffre de la comparaison. Ce n’est pas le plus nul de la série cela dit. Et un polar islandais toujours du même auteur. Ma maman les achète et je lui pique j’ai moins aimé celui là (j’ai perdu le titre). À force d’en lire on voit les ficelles et ça ressemblait à un des premiers que j’avais lus. Moui.
J’ai commencé le théorème du perroquet sur les conseils d’une amie.

La Promesse de l'aube je l'ai découvert il y a très longtemps.
Je l'ai relu dernièrement.
C'est vraiment un livre magnifique. Et il me touche pour une raison personnelle.
J'ai lu plusieurs livres de Romain Gary et je sais que je n'ai jamais été déçue même si je ne me souviens pas de tout.
J'ai aussi lu une biographie qui m'avait beaucoup intéressée

J’ai encore lu les polars islandais, et je viens de découvrir que ceux que j’ai lus dernièrement sont de deux auteurs différents et pas du même

J’ai lu La Vie devant soi, de Romain Gary, et wow, j’ai été attrapée par l’écriture. Encore une fois c’est d’une sensibilité rare. Je n’ai jamais lu un roman écrit du point de vue d’un enfant, qui soit tellement dans la justesse.