@lakchmi qui te dit que légalement le cheval n'tait pas aux parents
pas mal de parents achètent un cheval pour leur enfant mais garde tout à leur nom
d'ailleurs au moment de l'cachat l'auteur du post etait probablement mineure
et que conseil franchement de lui dire de se retourner contre ses parents qui doivent encore suremet subvenir à ses besoins
ventdusud Bonsoir. Tu as peut-être tout lu un peu vite. C'est
elle-même qui dit que légalement le cheval est à elle (il est à son nom). Elle l'a écrit plusieurs fois.
Je n'ai aucune raison de ne pas la croire (disons qu'à partir du moment où on décide de douter de ça, on peut douter de l'existence même de son histoire, donc autant ne pas répondre du tout).
Je ne lui "conseille" pas de se retourner contre ses parents, je lui ai dit que si quelqu'un vendait quelque chose qui lui appartient sans son accord, c'est contre cette personne qu'il faut se retourner.
Je lui ai ensuite dit que je trouvais que personnellement, c'était fort dommage d'aller jusque là "pour ça", et quand elle a dit que ses parents avaient la charge financière du cheval, j'ai ajouté que si elle partait pour du juridique elle partait franchement perdante.
pcql a écrit le 29/08/2019 à 20h57:
YOPOPOPOPOPOPOPOP ! On ne s'affole pas @lakchmi !!
Qui a acheté le cheval ?
Parce que la carte de propriétaire a à peu près autant de valeur qu'une feuille de papier-toillette ! Je suppose que ce sont les parents de @makeno qui ont acheté, payé le cheval, que l'éventuel contrat est à leur nom, et qu'ils ont payés les frais d'entretien dudit cheval de leur fille mineure ou tout juste majeure ;)
Dans ce cadre là, le cheval est légalement à eux, même si la carte de propriétaire dit l'inverse ;) Sauf s'ils lui ont signé un papier comme quoi ils lui en faisaient don ;)
Et le cheval étant à eux, l'argent l'est aussi ;)
pcql Aucun affolement de mon côté, ne t'inquiète pas
.
Tu n'as peut-être pas eu le temps de tout lire. Quand la posteuse a précisé que c'était ses parents qui entretenaient le cheval, je lui ai bien précisé qu'elle n'avait aucune chance si elle essayait de se lancer dans le juridique.