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). J'essaie de prendre mes aises dessus sans me faire peur (car on dirait pas comme ça, mais ça peut partir violent) mais je retiens qu'il faut l’enclencher ! D'ailleurs, j'ai était plus à l'aise au dernier cours car plus sûre de moi dans mes demandes, moins passive, il était du coup plus dans l'impulsion. Après ma prof m'a dit qu'il fallait que je profite de ses moments de conneries pour le mettre en avant plutôt qu'essayer à tout pris de le retenir. Retrouver le calme oui, mais en profitant de l'impulsion pour rester dans le travail. Que tout soit bénéfique finalement, même les bêtises !
Pourquoi chercher à pousser le cheval sur une attitude aussi plongeante ? C'est un peu comme si tu avais une brouette de maçon, tu sais, celle avec un seule roue devant, c'est tellement instable
, brouette chargée à mort de sable et dans le sable
Déjà en marchant doucement c'est un calvaire à faire avancer, mais si en plus du commence à faire de grand pas ou à courir, c'est la syncope assurée
Pour moi, il faudrait faire l'inverse. Le ralentir pour qu'il arrête de courir derrière ses épaules, afin de le remettre au dessus de ses appuis, puis lui faire fléchir les articulations, libérer ses épaules (donc décharger la brouette du sable qui pèse sur la roue avant
) et une fois qu'il se porte, qu'il a retrouvé un peu d'équilibre, à ce moment là seulement, aller rechercher un peu d'ouverture de la foulée et de reprise de """vitesse""" dans son allure.
). Bon moi, je ne l'ai jamais vu faire (j'ai jamais été présente lors des chutes). Et avec sa proprio, on a décidé de voir d'abord ce que ça donne en longe avant de monter dessus, donc je vois ce que ça donne à pied et si ça part en cacahuète, je ne monte pas. Après, je monte avec le airbag et d'abord dans la "petite carrière" pour avoir une sécurité si ça part (car quand ça part, c'est souvent en début de séance, les deux grosses chutes qu'elle a eu, c'était dans le quart d'heure après le montoir). 
, mais là, ça me conforte dans mon impression. Le cheval charge et dans ses défenses il charge et plonge encore plus (pour ruer et partir en saut de mouton, il faut que la tête plonge, ce qui n'est pas bien compliqué pour lui puisque la moitié du job est déjà fait vu son attitude ! Prendre la main au galop, c'est aussi une charge des épaules) Donc j'aurais tendance à penser qu'en le remettant sur ses hanches ça pourrait bien désamorcer cette mauvaise réaction
D'autant plus en situation de concours. Il n'y a pas de secret, même si un mors peut """""""participer"""""" à récupérer un cheval en live, tant que le cavalier au bout des rênes n'a pas de réponses techniques viables avec une position optimale, sa selle restera un siège éjectable quel que soit le mors. Ainsi, avec les bonnes réponses techniques, une position optimale en selle, un mors simple est largement suffisant pour reprendre le contrôle.
. tu as bien compris qu'il ne faut surtout pas le porter, faire à sa place, avant lui, etc
Si en plus tu bouges trop dans ton assiette, tu perturbes son équilibre. Et cela, que tu soies au trot assis ou enlevé. Car bien trotter enlevé est aussi tout un art. Il faut éviter de balancer son bassin d'avant en arrière, ce qui revient à balancer en continu du poids vers l'avant, puis vers l'arrière, puis vers l'avant, etc.. Envoyant le cheval tantôt vers l'avant, mais tout de suite après vers l'arrière, et vers l'avant etc... Comment espérer avoir une belle propulsion fluide avec un mouvement du cavalier qui ne fait que frein/avancer/freiner/..
Le trot enlevé, c'est un effet d'ascenseur discret en bas/en haut/en bas/... en restant le plus près possible de sa selle. Quand le cheval trotte, son dos monte, se baisse, monte, se baisse et toujours va en avant, jamais en arrière. L'assiette doit faire pareil, sinon elle parasite l'impulsion, l'équilibre et le geste du cheval.
