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Les galops, reflet du niveau équestre ?
Posté le 09/04/2020 à 18h14
Pour ma part, j'ai un galop 7 (du moins son équivalent) validé en 1988. J'ai eu mon premier cheval tard, j'ai longtemps été cavalière de club en même temps que je bossais des chevaux pour des proprios (dans toutes les situations : du cheval compliqué qui a fait peur à son cavalier au cheval à bosser pendant des absences prolongées desdits proprios, en passant par bosser les chevaux de club de la copine monitrice pour les remettre un peu droits).
Mon mari n'a aucun galop, quasi autodidacte. Alors, il tient à cheval, tournait en pro endurance bien avant moi et gère les questions d'entraînement et de gestion de course mieux que moi.
MAIS, quand il s'agit de bosser les chevaux sur le plat dans le bon sens, c'est moi qui m'en charge. Parce qu'il n'a jamais fait et ne sait pas faire... Et la manipulation des poulains, la mise en route des jeunes qui sortent du débourrage, les soins courants et moins courants, les problématiques d'alimentation, la gestion des affinités dans les troupeaux, etc, c'est moi aussi...
Je pense qu'il y a autant de reflets du niveau équestre par les galops que de vécus d'individus.