Un doute m'assaille...
Nous parlons bien de
prêt à usage d'un équidé, appelé couramment
confiage?
Dans ce cas, il me semble que la propriété n'est pas transférée à celui qui use du cheval ; ce dernier en est uniquement dépositaire et ne peut s'en servir autrement que pour l'objet défini par le contrat.
Lorsque la propriété est transférée, il y a cession et pour le coup, celle-ci serait non onéreuse.
Cela n'empêche pas les abus mais je pense qu'un peu de clarté ne nuirait pas aux échanges, car tout cela me semble ambigu. Et sans doute que cela aiderait les juristes à répondre.