C'est clair: d'abord ils construisent et après ils braillent.
J'en ai l'exemple dans mon petit village, il y a plein de nouveaux arrivants (le bourg a quintuplé en 20 ans).
Maintenant, c'est la foire d'empoigne parce que les chiens aboyent. En soi, rien d'anormal. Sauf qu'un chien ou deux par maison, sur toute la route, alertent le quartier à chaque fois qu'un pékin passe à pied ou en vélo: soit presque toute la journée.
Comme le dit pcql: trouble anormal du voisinage/tapage diurne= plainte (en ce moment pétition pour occuper le maire qui a autre chose à faire que de s'occuper des chiens/chats).
Et les 1ers à hurler au crime sont ceux dont les chats ont désertés le domicile pour arriver à la pension (et pas nourrit, ils ont décimé tous les nids d'oiseaux présents au printemps
) .
En soi, je m'en moque que les chats se proménent. Mais retrouver 1 chat couché sur le lit d'une gamine allergique et asthmatique parce que son proprio n'est pas capable de le garder chez lui :
. Je ne vais pas vivre toutes les fenêtres closes à cause des animaux du quartier...
Qui a envie de faire des concessions? Jusqu'à quel point? Parce que ce que toi, tu trouves normal, cela dérange peut être ton voisin.
Bienvenue dans le monde merveilleux de la cohabitation ruraux/urbains