Bonjour,
Comme Quiebro, je ne comprends pas trop le sujet. Comme vous tournez autour du pot sans expliquer concrètement ce qui vous est arrivé, je ne comprends pas ce que vous attendez de cette discussion ou ce que nous devons répondre.
Un "milieu", c'est pour moi ni plus ni moins qu'une communauté, c'est donc évident qu'il en existe un, et c'est un terme parfaitement neutre.
Nous en faisons plus ou moins partie selon notre degré d'engagement : il est évident qu'un professionnel du secteur équestre va être bien plus confronté au "milieu", que mes amis qui ont des chevaux au fin fond de la cambrousse normande pour faire des promenades.
Je crois comprendre que pour vous, être propriétaire d'un cheval vous fait rentrer dans le "milieu" car vous découvrez qu'il y a des gens malhonnêtes ou incompétents : pas vraiment. C'est comme lorsqu'un couple a son premier enfant, il va découvrir qu'il y a des pédiatres incompétents, et nous n'appelons pas ça "le milieu des bébés", mais juste "être parents". Là, vous êtes juste propriétaire.
Mes parents ont eu deux chevaux. On les a mis dans un club qui nous "fournissait" le véto, un ami maréchal venait les ferrer, notre prof a donné son avis sur nos chevaux car nous lui avons demandé, et puis c'est tout.
Ca a été deux chevaux de promenade donc le "milieu du cheval", nous n'en n'avons absolument pas fait partie puisque nous vivions notre vie dans notre coin.
En revanche, nous les avons trouvé par du bouche à oreille, dans l'équipage de chasse à courre, par une personne du milieu de la chasse, qui connaissait donc les bons marchands avec de bons chevaux.
Un "secteur", pour moi, touche plus une partie professionnelle.
Je ne comprends pas non plus ce qu'il y a de philosophique à discuter du milieu du cheval. Ce n'est pas philosophique que de dire qu'il y a des accointances entre personnes de la même communauté