zaccharie.z
ce que tu dis, c'est bien ce que je dis !
On ne peut pas comparer le domestique au sauvage.
Si on s'occupait des sauvages pour les protéger de tout, leur rendre la vie confortable, on dénaturerait leur comportement et là encore, la comparaison serait faussée.
Donc, oui, les domestiques s'en sortent mieux du fait même de leur domestication et de tout ce que cette domestication implique. Ils sont définitivement et génétiquement différents.
Citation :
"Les chevaux XXX qui vivent dans un environnement AAA survivent mieux que les chevaux YYY qui vivent dans un environnement BBB."
oui c'est tout à fait ce que je dis et c'est aussi pour cela qu'il faut arrêter de comparer les domestiques aux sauvages d'une part et de penser d'autre part que même si la connaissance du sauvage permet de comprendre le domestique, il n'est pas judicieux de projeter sur le domestique des besoins rigoureusement identiques.
Les chevaux de Namibie sont des marronnés, comme les mustangs. Il y a un livre très intéressant sur leur histoire. "Ma vie avec les chevaux de Namibie" de Jacqueline Ripart.
La capacité d'adaptation des chevaux, et de beaucoup d'animaux, est étonnante, je ne cesse de le dire

La première particularité du domestique c'est la conservation d'une grande capacité à apprendre tout au long de la vie. A la fin de la puberté, les comportements du sauvage se gravent un peu dans le marbre (très schématiquement parlant) et il est moins malléable, il s'adapte moins bien, ...
Il est normal que le sauvage ait une durée de vie moins longue que le domestique parce que justement, il ne bénéficient pas d'un environnement protecteur. Dès qu'il est affaiblit il est condamné.