titou a écrit le 10/12/2012 à 17h19: |
|  | En fait, le mal des \"galops\" est là...
Les contrat de foulées, je l\'ai abordé au cours de mon Premier degré.
Pour l\'étrier et l\'éperon d\'argent, il en était question.
Le jour de l\'examen d\'éperon d\'argent, le principe était sur les deux lignes pourquoi on prenais ce contrat plutôt qu\'un autre, et est ce qu\'on pouvait passer la ligne avec un autre et comment...
Mais, je parle d\'un temps que les moins de vingt ans ne peuvent pas connaitre....
Il n\'y avait pas toute cette série de niveau pour compétition...
Il y avait entrainement ou officiel D, C, B, A.
Et encore... En CCE, il n\'y avait pas de D.
|
|
|
Complètement d accord avec toi, les exigences sont en baisses depuis longtemps (juste à voir le niveau que ma mère avait ... éperon de bronze je crois) !
A la décharge des moniteurs que j ai eu, j ai beaucoup changé de club gamine :
le 1er, je suis montée assez longtemps, environ 10 ans
ensuite je changeais pratiquement tous les ans de club, donc de moniteur et de cavalerie.
Donc pas toujours facile pour moi de combler les lacunes, puisque pas de suivi régulier, j apprenais le sujet du moment, c est tout.
Mes 6 premiers galops je les ai passés dans mon 1er club, je dirais entre 90 et 96, et je ne me souviens plus vraiment des questions posées.
Pour le 7, j ai souvenir d avoir passé l écrit en 98 ou 99 (il existait encore

), et la pratique en 2003, en faisant un stage de 4 ou 5 jours dans un club que je ne connaissais pas.
Donc pas vraiment un examen, juste des cours approfondis pendant le stage, le moniteur qui évalue mon niveau, et qui donne le galop (ou non) à la fin.
Après, je n ai de toute façon jamais eu un top niveau (et j en ai toujours été très consciente puisque mon frère et ma soeur sont bien meilleurs que moi

).
Je ne suis jamais sortie plus haut que 110 (D2), et je pense qu on ne m a jamais demandé de vraiment travailler et monter mon tour à fond.
