ypke07 a écrit le 22/01/2013 à 01h01: |
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En effet l éthologie ça sert à ça :
Exemple pour les piqûre on prend une seringue sans aiguille et on commence à approcher des que le cheval bouge on n approche pas plus mais on ne retire pas et des qu il arrête de bouger on enlève le stimulus.
Généralement on fait l inverse.. On essaye si le cheval s ennerve on arrête. On gueule mais on a apprend si je bouge plus d ennuis et c'est l escalade.
Or c'est l inverse si je bouge ça continue si j arrête ça s arrête . Et on est intelligent pour stimuler mais pas ennerve le cheval. On procède par approche retrait de plus en plus proche toujours de la manière décrite auparavant. Puis on touche. Puis on caresse tout le corps. Puis on simule piqûre .
Toujours de la même façon. Il bouge je continue il est tranquille je retire.
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Alors le soucis avec BB Dvorak, c'est qu'il a réagit au moment ou il a senti l'aiguille le piquer.
Il a tellement bougé que celle ci est tombé.
Puis la proprio de la pension a pu le retoucher, approcher la seringue sans soucis, et quand elle a re piquer, idem, grosse crise!
Et la ben, il avait comprit donc c'était fini, elle ne pouvait plus s'en approcher...
(C'est vraiment le fait que l'aiguille le perce qui le rend "fou")!
Du coup, il faudrait que je fasse un système comme tu as décris plus haut, mais avec quelques chose qui picote.
Pour qu'il finisse par comprendre que ça pique, mais qu'il n'en meurt pas