C'est vrai ce que tu dis Momo...
Quand on n'est pas proprio... on en rêve !!!
Mais c'est vrai qu'on va à ses cours,
et si on est malade ou qu'on en a pas envie, ben on tel pour s'excuser et puis on reste au chaud dans son canapé...
Et on n'a pas à s'inquiéter quand il y a l'orage qui déchire le ciel, un motard qui vrombit trop près de la clôture, le froid qui arrvie un peu vite, le soleil qui tape un peu fort...
On n'a pas à penser aux vermifuges (lequel pour qui pour combien de poids et quand ?), aux vaccins, aux problèmes de boue, de dermite, de mouches et moustiques et tiques tout court...
pas non plus à s'affoler d'un pied chaud, un boulet qui gonfle, une vilaine blessure de pré ou un coup de dent...
et comme tu dis, pas besoin de courir après un mono, une carrière pour bosser... et pas se tracasser pour trouver la bonne selle, le bon mors...
Pas à se cailler en plein hiver pour porter la ration de foin et de floconné sous le vent et la neige, et faire le plein d'eau...
Tout ça, quand on n'est pas proprio, on ne le subit pas...
Mais....
MAIS...
On n'a pas non plus tout le bonheur de voir le bien être de SES chevaux et la joie de les soigner, de leur donner à manger, de les chouchouter en se disant que leur vie... ben c'est aussi un peu la nôtre...
Et ça... C'est irremplaçable ! Et ça vaut le coup de subir toutes les autres contraintes...
On est là pour se tenir les coudes...
Proprio ou non, on est tous liés par le même "mal"... Le virus du cheval ! Et c'est incurable je crois bien !!!
Bon courage Momo... ça va le faire...