Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval

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Zzzzz

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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 07/04/2011 à 15h39

un petit topic pour ironiser sur le monde du cheval : je propose de raconter des annectodes, reflexions marrantes ou pourries qu'on vous a faites.

je commence:

> en periode de gelee cet hiver, une cavaliere me dit :
- pourquoi tu vas pas en ballade?
- la route est gelee et ma jument fait la folle dehors, j'ai peur de glisser
- t'as qu'a lui mettre un enrennement...



> un moniteur en visite au club dit à ma monitrice en parlant de mon cheval :
- c'est quoi ce cheval? (d'un ton interessé)
- oh, rien, un trotteur


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Modérateur : bianca_jones

The-winner

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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 20/10/2016 à 20h17

murphyx

Évidement que, et je l'ai écris plus haut, dans l'urgence la première chose à faire est de pousser le cheval de son pauvre pied avant de le perdre (qui a déjà eu un cheval qui pose son son sabot tout en pivotant sur son petit pied d'enfant lève la main ) mais rien n'empêche tout de suite après de faire une petite leçon de placement dans l'espace à l'ecrabouilleur en chef. En club malheureusement rien n'est simple sauf exception , et j'espère que tu auras l'occasion de pouvoir évoluer dans d'autres cadres par la suite.
Le problème est que dès l'enfance nous sommes conditionné par la violence, déjà à notez niveau, claque, fessée, Baston dans la cour, mais aussi dès le début dans notre vie de cavalier ! La majorité des moniteurs gueulent déjà sur les gamins de cravachés leurs poneys d'apprentissage à gogo. Et c'est comme si à chaque problème, il y avait une violence adapté ! J'ai même vu une monitrice frappé une jument parce qu'elle n'arrivait pas à lui faire sa piqûre !!(et puis la j'adore la logique tu sais elle rentre dans le box toute seule, sans licol, sans demander à personne de venir tenir le cheval et pense que la piqûre va se faire toute seule ) Enfin bref je pourrais écrire un livre tellement j'en ai vu des actes de maltraitance, même à petite échelle je ne le cautionne pas et je pense que c'est à nous, nouvelle génération, d'apporter cet amour profond du cheval que nous avons tous, et de devenir meilleur que ce que voit actuellement de commun dans les écurie. Et ça commence par réfléchir chaque acte du quotidien et à penser "cheval" c'était la leçon philosophique du jour ^^

Murphyx

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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 20/10/2016 à 20h18

paulimer Tu peux, j'avais pas conscience de mes erreurs et de mon comportement et je remercie ce petit cheval ( gros nounours de ma photo de profil ) de m'avoir encore supportée après ces conneries ^^

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Posté le 20/10/2016 à 20h25

aliwia
Tu sais je ne parle pas de méthode de bouquin, je n'en utilise aucun, on peu réfléchir à d'autres manières adaptés à chaque cheval qu'on rencontre sans suivre des méthodes approximatives qu'on aurait lu ici et là. Car dans l'instant T toi seul est capable de savoir pourquoi ton cheval réagis comme ça, et surtout toi seul avec ta peur humaine, peu réagir. Donc tu peux avoir les meilleurs principes du monde mais être pété de touille et en foutre une grosse à ton cheval qui n'y est pour rien par exemple. Et c'est pour ça que la réflexion et la recherche permanente sur des méthodes différentes que la violence facile doit faire partie du quotidien du cavalier, afin qu'en moment de panique, son cerveau soit rapide et agile pour se sortir d'un faux pas dangereux.

Je ne remet aucunement dans mes propos l'absence de complicité entre un cheval ayant été élevé de cette manière et son cavalier. Je dis juste que l'absence de violence ne fait que décupler cette complicité

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Posté le 20/10/2016 à 20h28

( et tout est question d'apprentissage, tu parles de "ta" jeune de 3 ans, tout les 2 ans, 3 ans ect avec lesquels j'ai travaillé ont survécu à ma méthode douce et sont respectueux et réagissent justement à ce qu'y se passe autour d'eux et à ce qu'on leur demande. Du travail, de la gentillesse, de la compréhension, de la réflexion et surtout essayer de remonter chaque problème à la source, il ne sert à rien de lutter contre un symptôme, il vaut mieux sans prendre au vrai problème directement

Murphyx

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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 20/10/2016 à 20h35

the-winner là je suis d'accord avec toi

C'est difficile en club de se permettre ce genre de choses, notamment quand la propriétaire de l'équidé en question est là et te reprend directe le cheval des mains pour lui flanquer une baffe parce que vilain a fait des conneries.

Après pour la cravache, je pense qu'il y a différents moyens pour s'en servir. Par exemple le moi dernier, pour ma première leçon après des années sans monter, j'étais sur un jeune bien sympas. Sauf qu'au trot il engageait pas du tout et était tout mou. Faut dire que j'avais du mal à le booster. La monitrice, le connaissant et sachant de quoi il est capable, m'a demandé de le bouger un peu plus parce que là il se trainait. il réagissait pas à la pression des mollets etc, ( il est pas froid pourtant, mais je devais mal m'y prendre ) alors elle m'a dit d'utiliser la cravache. Il m'a juste suffit de lui donner un tout petit coup derrière ma jambe pour qu'il accélère et engage bien ses postérieurs et tendent mieux son dos. Juste un riquiqui coup et il m'a fait une séance parfaite. Ça l'a juste stimulé, ce qui est la fonction première de la cravache ^^

Aliwia

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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 20/10/2016 à 20h42

the-winner

Citation :
Du travail, de la gentillesse, de la compréhension, de la réflexion et surtout essayer de remonter chaque problème à la source, il ne sert à rien de lutter contre un symptôme, il vaut mieux sans prendre au vrai problème directement


Tu sais, le problème directement, aujourd'hui, avec la mienne, il est simple : il lui arrive de tester mes limites. Pour l'avoir connu à l'époque où elle avait facilement peur et qu'elle ne me faisait pas confiance, je sais très bien faire la différence ^^.

En revanche, je crois que ce post tournerait moins en rond si tu nous expliquais carrément ta méthode. Car le travail, la gentillesse, la compréhension et la réflexion, c'est aussi ce que j'utilise. (Oui, punir ne fait pas de moi un être méchant.^^)
J'ai expliqué la mienne (code du troupeau), approche en plusieurs phases, celle que j'ai appris en club étho mais aussi utilisé ailleurs. Que tu ne soit pas d'accord, c'est une chose. Mais sans alternative concrète, je ne pourrait pas prendre tes remarques en considération.

Car je me remet tjrs en question. A travers les livres, les différents pro et même ce forum qui m'a appris tant de chose... Moi aussi, je réfléchi, je cherche à comprendre.

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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 20/10/2016 à 20h46

Effectivement il ya une grosse différence entre la cravache, outils de travail et la cravache outils de défoulement parce que "poney n'a pas fais ce que je lui demande"
En ce qui me concerne j'ai eu la chance d'avoir été formé dans les courses par quelqu'un qui interdisait son utilisation. On devait l'avoir en cas de danger immédiat #pour ceux qui ne sont pas au courant ont est chaussé parfois très très court donc pas d'action de jambe possible #(exemple le cheval s'occupe d'un truc qui lui fais peur à gauche tout en ne faisant pas attention au camion sur la droite sur lequel il se dirige, donc là malheureusement pas le choix quand le cheval se met en danger on a pas forcément 36 solutions, une claque sur l'épaule, tout comme on donnerai une pichenette derrière la tête d'un enfant ou qu'on secourait un ami.
Par contre on ne devait surtout pas s'en servir à l'entraînement, il fallait motiver le cheval avec sa propre volonté. Et c'était d'autant plus facile que ce grand monsieur nous laisser la possibilité de créer une vrai relation avec chacun d'entre eux. Nos chevaux quotidiens étaient attaché à nous, nous l'etions à eux, et c'est dans cette optique que nous travaillions. Le patron passait beaucoup de temps, en cas de problème, à observer le cheval, à lui parler, à le manipuler, à essayé se comprendre. Et on avait pas intérêt à gueuler ou à en foutre une à ses chevaux. Et résultats, tout le monde le connaît pour ses chevaux bien dans leurs peaux et aux résultats excellents.
Maintenant je souhaite me former en classique également à coter et c'est très dur de trouver ce type d'enseignement.

Édité par the-winner le 21-10-2016 à 21h44



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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 20/10/2016 à 20h53

aliwia
Ma méthode est très simple et quiconque voudra en savoir plus sera le bienvenu par mp, car ce n'est pas le sujet du poste, je ne cherche pas non plus à me faire de la pub, et comme tu l'auras compris, je ne me vante pas de quoi que ce soit. J'ai eu pour modèle un très bon cavalier de dressage quand j'étais ado, puis je me suis orienté vers les courses où j'ai eu là aussi un maître formidable. J'ai eu aussi beaucoup de mauvaise rencontre avec des gens prônant la violence, la "domination", les etholo qui restent le nez dans leur bouquin, et quand ça ne marche pas, crève leur chevaux autour d'eux et se fache.
Je n'utilise aucun livre pour ma méthode, car il s'agit juste de bon sens. Ça ne m'empêche pas de lire les grands auteurs. Mais je n'ai pas besoin de voir écrit dans un livre qu'il ne faut pas taper un cheval pour ne pas le faire.

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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 20/10/2016 à 21h35

On m'a toujours appris, et j'y crois, que la vraie maltraitance ce n'est pas UNE claque / UN coup de cravache à la première tentative de désobéissance à une demande. La vraie maltraitance quotidienne, c'est les 36 petits coups de talons pas convaincus sur le cheval pas en avant, c'est le laxisme 3 semaines puis grosse remise au point la semaine 4 parce que finalement ça devient dangereux...

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Posté le 20/10/2016 à 21h58

C'est vrai aussi

Emprisa

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Posté le 20/10/2016 à 22h11


flosca a écrit le 20/10/2016 à 12h37:
J'arrive 30 ans ( ou plutot 5 pages ) aprés la guerre mais je voudrais juste répondre à l'incitation de @lasbel75 ...Donc comme suggéré, je lève la main!

Personnellement je ne comprends absolument pas qu'on puisse faire subir ses humeurs à son cheval, au même titre que je serais choqué de voir une maman coller une baffe a un gamin qui n'a rien fait "parce qu'elle n'est pas d'humeur".

Pour moi être cavalier c'est avant tout savoir garder son calme en toute circonstance, si on en est pas capable, on ne monte pas. En tout cas moi c'est comme ça que je procède, quand je suis de mauvais poil, que je sens que je n'aurai pas de patience ou que je ne saurais pas me contenir, je viens faire un câlin, donner des pommes, balader en main, et je repars.

Il y a une grosse différence entre réprimander une mauvaise action ( même si très sincèrement, je doute que le taquet dans les dents ou le coup d'éperon dans le bide ai la moindre efficacité à ce sujet), et passer ses nerfs, quelqu'en soit la raison...

Bref c'était une parenthèse juste pour dire que je suis vraiment pas d'accord avec ceux qui estiment ça acceptable, voir normal..



flosca Il est vrai que pas grand monde n'avait rebondi la dessus, mais je suis 300% d'accord avec toi. Si on est pas d'humeur, on ne va pas au cheval. Si c'est pour y aller et etre de mauvaise humeur, ça n'a rien d'un plaisir. Et le cheval n'a pas a subir nos sauts d'humeur... ^^

Édité par emprisa le 20-10-2016 à 22h13



Iris9453

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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 20/10/2016 à 22h17

Une histoire qui remonte à 10 ans (la vache ..déjà .....) .

Je montais à l'époque dans une "usine"

Tout fraîchement proprio , j'était en train de me monter un parcours à pieds dans la carrière .
Hiver gadouilleux n'aidant pas , en mode gueuse en perdition , un véritable remake de Waterworld version Quechua .
Arrive une cavalière hollandaise (jury gnagna dressage) sur son beau entier mieux lustré qu'une voiture de tuning .
Je lève la tete , lui dit Bonjour avec un grand sourire , elle me passe sous le nez sans mot me reluquant des pieds à la tete .

Bon.

Comme dirait ma grand-mère "laisse pisser le mérinos" , je passe à autre chose .

Je retourne dans la partie écurie des particuliers pour seller le phoque .

10 min plus tard , la cavalière arrive , me vois dans la cours et me lance un "Ah bonjour ! vous afez un chefal ? "



Non ce n'est pas un sketch , ni un réplique à la Véronica ....


Monde de merde .

Clever

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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 20/10/2016 à 22h35

iris9453
nan mais tu comprends, quelqu'un qui n'as pas de cheval n'est pas digne de sa considération

Tangram

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Posté le 21/10/2016 à 07h51

Je suis étonnée qu'elle t'ai adressé la parole alors que ton ''chefal'' n'était pas aussi prestigieusement lustré lol

Sinon j'en ai une drole du moniteur du club où j'ai Baïkal... Une dame vient prendre son tout premier cours. Elle se débrouille très bien et le moniteur lui propose d'essayer de trotter un peu. La dame lui dit ''ok mais faut que je sois sûre de pouvoir arrêter la jument après.''
Réponse du moniteur: ''dans la vie on est sûr de rien, la seule chose qui est sûre, c'est qu'il faut mourir un jour.'' ambiance!!

Corleone

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Reflexions les plus "pourries" du monde du cheval
Posté le 21/10/2016 à 09h34

J'arrive dix ans après la bataille mais je confirme que lulu423 est loin de maltraiter sa petite juju

J'ai lu toutes vos interventions et ça me fait juste penser à un autre débat majeur : l'éducation des enfants. J'ai un vu un jour, un groupe fbk sur lequel les mamans s'offusquaient de voir Super Nanny attraper un enfant de 5ans par le bras pour le coller dans sa chambre, parce qu'il avait tapé sa mère.
"L'enfant va être perturbé blabla, c'est de la violence blabla... "

On en revient toujours au même : chacun a ses méthodes. Prendre un gamin fermement par le bras, une fois par an, n'a jamais été de la maltraitance.
Et il faut mesurer : si tu punis /gronde un enfant, tu as ensuite une phase explicative, dans laquelle tu te montres doux, pour montrer à l'enfant que l'instant "gronderie" est passé et que le parent ne lui en veut pas et qu'il l'aime toujours.


Le cheval, pour moi, c'est la même chose. Tu gueules parce que ça fait quatre fois qu'il essaye de te mordre pendant le pansage, il boude 5mn et ensuite, tu lui montres que c'est passé, et tu reprends une attitude lambda que tu as pendant le le pansage, avec gratouilles ou papouilles.
Le cheval est pas idiot, il comprend que mordre = gueulante et que pas bouger = caresse.

Mais tout ça, ce sont des méthodes éducatives, et c'est peut-être dur à avaler pour des gens, mais chacun voit midi à sa porte.

Je me suis faite punir par ma mère, c'est pas pour autant que je suis traumatisée et que je pense qu'elle me déteste et qu'elle m'a manqué de respect...
Le cheval c'est pareil. Tu lui fous une petite tape, ça ne veut pas dire que tu ne le respectes pas.

Moi, le "noble et honorable animal", clairement je m'en fous. Le chien n'est pas appelé "noble et honorable", mais je les respecte autant. C'est une question humaine et éthique, pas d'animal. Tu respectes la nature, les plantes, les animaux, point barre.

Enfin, le mot "violence" est un mot fort, dur, qui va souvent de pair avec "maltraitance", "irrespect", "infliger de la douleur".
C'est souvent utilisé pour faire culpabiliser les gens qui du coup, pour une simple tape, vont se voir collée une étiquette de personne violente.
Donc quand on parle d'un coup de cravache sur l'épaule, est-ce que c'est vraiment violent, dans le sens "geste douloureux"?

Un coup de cravache, ça n'est pas non plus un geste irrespectueux et violent qui est très douloureux pour le cheval. Tout comme une petite tapote sur le bout du nez, entre les oreilles ou autre.
Ca ne rend pas un cheval traumatisé, tout comme une tape sur le bras ne rend pas un enfant traumatisé, s'il a toute l'affection dont il a besoin et si les parents agissent de manière juste.

Si on considère les cavaliers qui utilisent la cravache, grondent leurs chevaux et les tapent si nécessaire comme violents, alors je suis violente.
Et je ne vais pas changer, car je n'ai jamais maltraité les chevaux qu'on m'a confié et je suis la première à les sur-gâter. Seulement voilà, je considère qu'étant dominante, il doit y avoir des règles imposées qu'il doit respecter : ne pas mordre, ne pas taper, ne pas menacer, ne pas marcher sur le pied, ne pas se cabrer, etc... Je ne suis pas son congénère.

Mais on peut débattre encore des heures, ça reste des débats souvent stériles, car ce sont des notions éducatives très personnelles, sur lesquelles personne ne sera entièrement d'accord.
Le tout étant de ne pas juger les autres, ou d'estimer que sa méthode est la meilleure, car elle n'a aucun geste perçu comme violent.


Et enfin, c'est aussi très difficile d'avoir une méthode pour tous les chevaux, tout comme l'éducation des enfants doit s'adapter à chaque enfant. C'est utopique d'imaginer une méthode universelle.
Des chevaux seront beaucoup plus respectueux de l'Homme que d'autres, on ne peut pas leur demander la même chose. Ils ont leur caractère, leur vécu, etc...
Je connais deux chevaux qui en sont des exemples : avec l'un, il faut presque crier plus fort que lui pour qu'il nous respecte, tandis qu'avec l'autre, le moindre doigt levé suffit à le tenir tranquille.


Sorry pour le pavé et pour la relance du débat, mais promis, je clos tout ça ^^ je voulais juste intervenir pour soutenir Lulu )
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