| | En toute objectivité, ils peuvent réformer ça ne changera rien. Et puis au bout du compte "un diplôme n'est qu'une suspicion de compétence". |
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Eh bien ça dépends... de la réforme !
Si les diplômes à venir sont données de manière stricte et rigoureuse, et comporte un suivi sur le long terme (suffit d'un examen, un seul jour, sur un seul cheval, pour juger d'un niveau : on peut avoir la poisse et tomber sur un jour où on montera + mal que d'habitude ou sur un cheval que l'on n'aime vraiment pas, avec qui ça coince, ou au contraire monter mieux que d'habitude ce jour-là, ou tomber sur un cheval qui sait lire et écrire qui ferait presque tout le boulot à notre place... bref, UN examen ne suffit pas).
Mais bon, avec des "si", on re-ferait le monde... Quelque soit les nouveaux diplômes, ça finira comme les galops : donnés trop facilement, et cie... Et mes suppositions faites au début de mon message ne sont qu'une (triste) utopie.
Tout ça pour dire que si on suivait vraiment les instructions données, et avec un bon programme, on pourrait arriver à des diplômes qui reflètent le niveau !!
Ce n'est pas une très bonne comparaison, mais prenons un chirurgien : il est rare qu'il est eu son diplôme pour rien, et qu'il soit incompétent ! Parce que le sélection est RIGOUREUSE ! Une notion pas (ou plutôt, qui l'était avant mais qui ne l'est plus aujourd'hui) encore aquise par le monde du cheval...