Balade dominicale chez une copine à 4. Un dimanche d'octobre, un dimanche sans pluie…
Une région que je ne connaissais pas du tout, vous avez peut-être suivi que mon appareil photos a rendu l'âme, j'ai donc piqué une image contractuelle de notre itinéraire.
Avec sa fille, elles ont repris et retapé une petite structure pour 6 chevaux dans un état lamentable. Elles ont chacun le leur et ont 4 pensionnaires. Ont redonné à ce lieu vis, qui ma foi c'est transformé en joli ranch.
Toujours en route avec ma partenaire de randos, sorties improbables et cie, on part pour 18 km sous une chaleur de printemps (oui ça a existé en octobre)
A l'aller le trotteur du groupe a donné le rythme et bien fait transpirés ses acolytes. Jument un brin agacée, mais gérable.
Pic-nic au creux de parois rocheuses et en avance sur l'horaire. Au retour tout le monde est rentré dans les rangs et la balade fut plus calme.
Un galop en forêt a réveillé la princesse qui avait calé après la pause. Elle m'a pris la main sans vraiment accélérer, tête basse je n'avais plus de freins… Sans compter qu'elle adore lever le cul lors des départs, je commence à m'y habituer, ça n'arrange disons rien.
Mais comme c'est une fille et une princesse, un loooong galop de montée nous a été proposé. La distance permettant on a tenté.
Bien avant de demander le départ, elle a planté net; les copains ayant été sympas et décidé de nous laisser partir devant. Puis elle a vu le cheval de tête et foncé… au trot! Je réussi à lui redonner de l'impulsion et démarre au triple galop, vient poulette ça a duré 30 m et les gaz sont retombés pour finir péniblement à couvrir les derniers mètres de montée.
On a donc pu galoper en autonomie et de façon civilisée. 1er galop en groupe sans mors, pari réussi!
Une belle journée, une belle rencontre et de bons souvenirs comme toujours en découvrant mon pays.
de 24 ans et il y a aussi Monsieur Galou 29 ans qui leurs tient compagnie et fait quelques sorties en longe également. En septembre 2020, Julie et Luna ont été diagnostiquées cushing. Elles sont sous traitement toutes les deux. 
Sauf que moi je capitule pas et ça le fait chier, parce qu'il a l'habitude d'être le petit roi avec tout le monde. En plus le problème de départ est passé, vu que de toute façon je vais partir, c'est le fait de me pousser à la culpabilisation qui m'horripile. J'ai l'impression que je les attire, ces tarés.
Tu dois être tellement soulagée !! Pourquoi les plaies iraient aussi loin ? Les prunelliers ont un truc particulier ?
cabochons Contente pour toi... Reste les ânes, courage !
L'auteur de ce sujet l'a marqué par des "Post-It".
