Bon du coup, brief fait sur le post du poilu… Mais c’était le festival

: entre la scie sauteuse, le camion qui était derrière nos fesses en montant un chemin, et puis le classique : les chiens pas tenus en laisse qui viennent à 50 cm de toi. Ça, c’est moi que ça énerve, lui s’en fiche (après, si un accident arrive, ça sera pour ma pomme).
Et puis, ce foutu vent.

C’est surtout ça qui m’a “tracassée”. J’ai l’impression qu’avec cette histoire de vent ou de météo “pas comme j’aimerais”, c’est comme si je me conditionnais… Comme si forcément, si la météo n’était pas parfaite, ça n’allait pas bien se passer.

Et je pense qu’en réalité, en me conditionnant, je le conditionne peut-être aussi… On en revient à l’éponge.
Mais sinon, super balade quand même, et une petite photo avec le soleil

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Je me faisais une réflexion : je suis aussi toujours partagée entre le fait d'instaurer des pauses brout-brout pendant la balade ou de faire la balade “d’une traite” et d’attendre la fin.
Il ne m’a jamais arraché les rênes ni rien, mais ça peut lui arriver de choper une herbe par-ci par-là. C’est vrai que quand l’herbe est bien grasse ou qu’il y a une touffe qu’il convoite, il peut s’arrêter, choper la feuille, repartir, s’arrêter, rechoper la feuille… et ainsi de suite. C'est de la d'où vient son surnom du jardinier.
Donc parfois, ce n’est pas simple de le garder concentré. Généralement, il le fait en fin de balade, l’air de dire : “bon humain, on rentre, j’ai la dalle”.
D’un côté, ça lui permet d’y trouver une autre forme de plaisir ; d’un autre côté, ça peut l’inciter à s’arrêter, alors qu’il faut le maintenir en avant. Généralement, j’arrive à trouver le juste milieu, mais ce n’est pas toujours simple avec les grands gourmands comme lui.
