En cso : rênes détendues

eiden a écrit le 20/11/2011 à 13h57: Beaucoup de chevaux s'arrêtent d'être laissé dans le vide au dernier moment C'est mieux d'avoir juste les bras / mains qui suivent le saut & la bouche au même moment que le cheval Dur de comparer aux grands du SO sachant que leurs chevaux ne sont pas habitués ou dressés pareil que nos loulous .. Surtout que sauter les rênes laches, oui quand elles étaient un petit peu laches à l'abord & avant Mais d'un coup laisser le cheval dans le vide, beaucoup se sentent chamboulés & refusent ou dérobent, voir sautent mais "mal"

Et pourquoi ils se sentent chamboulés ? Parce qu'ils ont tellement l'habitude d'être portés par leurs cavaliers et de ne pas pouvoir gérer eux même leur équilibre que FORCEMENT quand on lache tout... Ca fait tout drôle.

Alors que si dès le début on évitait d'avoir des rênes toujours en tension, et bien on aurait pas ce type de réaction : le cheval aurait l'habitude de gérer son équilibre comme un grand. Quant à la main, elle ne viendrait aider ou donner une information QU'EN CAS DE BESOIN.

Avoir toujours une rêne tendu, c'est comme avoir une jambe constamment au contact : sa désensibilise, et quand on veut donner une info, elle apparait moins claire.

Cerise sur le gâteau : ça abrutit le cheval qui ne sait plus se porter ni réfléchir seul à la situation face à laquelle il se trouve = si y'a une faute de la part du cavalier, le cheval se retrouve comme un con et ne saura pas comment remédier à la situation.

Je rajouterais que les chevaux ne sont pas des pantins à guider avec les rênes. Il savent marcher, trotter, galoper, et même sauter tout seul. Nous sommes là pour leur indiquer, leur apprendre de quelle manière il faut le faire pour qu'ils soient le plus à l'aise possible devant la situation face à laquelle on les met. C'est tout... Ils n'ont pas besoin de nous pour le reste.

Alors arretons de les porter en s'imaginant qu'ils ne s'en sortirons pas sans nous !

Merci marine

Et bien rien ne t'oublige à tendre les r^nes mais cela dépend grandement du cheval...

1-Si le cheval que tu monte est habitué rênes tendue et bien pour t'aider tu peux penser à garder tes mains niveau encolure pour avoir un point repère et sentir le mouvement sans laisser flotter des rênes.

2-Si le cheval est habituer rênes détendue, casse toi pas la tête, il refusera pas.

Voilà jespère que ça t'aura aider un peu.

Bonne continuation.

venice a écrit le 20/11/2011 à 14h23: Et pourquoi ils se sentent chamboulés ? Parce qu'ils ont tellement l'habitude d'être portés par leurs cavaliers et de ne pas pouvoir gérer eux même leur équilibre que FORCEMENT quand on lache tout... Ca fait tout drôle. Alors que si dès le début on évitait d'avoir des rênes toujours en tension, et bien on aurait pas ce type de réaction : le cheval aurait l'habitude de gérer son équilibre comme un grand. Quant à la main, elle ne viendrait aider ou donner une information QU'EN CAS DE BESOIN. Avoir toujours une rêne tendu, c'est comme avoir une jambe constamment au contact : sa désensibilise, et quand on veut donner une info, elle apparait moins claire. Cerise sur le gâteau : ça abrutit le cheval qui ne sait plus se porter ni réfléchir seul à la situation face à laquelle il se trouve = si y'a une faute de la part du cavalier, le cheval se retrouve comme un con et ne saura pas comment remédier à la situation. Je rajouterais que les chevaux ne sont pas des pantins à guider avec les rênes. Il savent marcher, trotter, galoper, et même sauter tout seul. Nous sommes là pour leur indiquer, leur apprendre de quelle manière il faut le faire pour qu'ils soient le plus à l'aise possible devant la situation face à laquelle on les met. C'est tout... Ils n'ont pas besoin de nous pour le reste. Alors arretons de les porter en s'imaginant qu'ils ne s'en sortirons pas sans nous !

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clemiae a écrit le 20/11/2011 à 13h00: .... Tu peux garder des rênes tendues sans tirer...

Eh ben non, justement.
Ajuster ses rênes, c'est les régler pour entrer en simple contact avec les commissures, ou les barres si on a une bride.
Plus le cavalier, ou le cheval, ou les deux, sont fins et éduqués, plus ce contact est discret quand la main n'a pas de message à envoyer. Le mieux étant que ce contact s'établisse par des rênes plus ou moins courbes dans leur trajet jusqu'à la bouche (contact "au poids du cuir", réservé aux plus fins). Proverbe image : "Il n'est pas nécessaire que les fils électriques soient tendus pour que le courant passe !"
Disons que les débutants qui commencent à "tâter" la bouche du cheval peuvent ajuster leurs rênes pour qu'elles tracent une ligne droite de leurs mains à la bouche, rien de plus.
Tendre ses rênes, c'est mettre les freins . Tendre une rêne, c'est envoyer un message du côté de la rêne tendue. Point barre.
Les mots sont importants, bon sang ! Surtout avec les jeunes qui ne demandent qu'à enregistrer...

Oui c'est vraie, moi je ne tend pas mes renes ni a l'abord , ni pendant je relache legerement , mais regardai les photos de hickstead en phase planer les renes sont tendu ... je pense qu'il y a certaine methode , certains chevaux ...

lili5898 a écrit le 20/11/2011 à 17h12: Oui c'est vraie, moi je ne tend pas mes renes ni a l'abord , ni pendant je relache legerement , mais regardai les photos de hickstead en phase planer les renes sont tendu ... je pense qu'il y a certaine methode , certains chevaux ...

Ah bon ?


Chais pas, pour moi c'est pas vraiment tendu ...

venice a écrit le 20/11/2011 à 14h23: Et pourquoi ils se sentent chamboulés ? Parce qu'ils ont tellement l'habitude d'être portés par leurs cavaliers et de ne pas pouvoir gérer eux même leur équilibre que FORCEMENT quand on lache tout... Ca fait tout drôle. Alors que si dès le début on évitait d'avoir des rênes toujours en tension, et bien on aurait pas ce type de réaction : le cheval aurait l'habitude de gérer son équilibre comme un grand. Quant à la main, elle ne viendrait aider ou donner une information QU'EN CAS DE BESOIN. Avoir toujours une rêne tendu, c'est comme avoir une jambe constamment au contact : sa désensibilise, et quand on veut donner une info, elle apparait moins claire. Cerise sur le gâteau : ça abrutit le cheval qui ne sait plus se porter ni réfléchir seul à la situation face à laquelle il se trouve = si y'a une faute de la part du cavalier, le cheval se retrouve comme un con et ne saura pas comment remédier à la situation. Je rajouterais que les chevaux ne sont pas des pantins à guider avec les rênes. Il savent marcher, trotter, galoper, et même sauter tout seul. Nous sommes là pour leur indiquer, leur apprendre de quelle manière il faut le faire pour qu'ils soient le plus à l'aise possible devant la situation face à laquelle on les met. C'est tout... Ils n'ont pas besoin de nous pour le reste. Alors arretons de les porter en s'imaginant qu'ils ne s'en sortirons pas sans nous !

Je t'aime, veux-tu être ma seconde femme ?

saberhagen a écrit le 20/11/2011 à 18h02: Je t'aime, veux-tu être ma seconde femme ?

J'aime bien quand tu postes ce genre de chose marine, ça m'évite d'écrire (moi, une feignasse ? noooon)

valombre a écrit le 20/11/2011 à 18h31: J'aime bien quand tu postes ce genre de chose marine, ça m'évite d'écrire (moi, une feignasse ? noooon)

A peine !

En plus, bah Venice, elle explique trop bien !

Avoir les rênes légèrement détendue pendant le saut, pourquoi pas, mais il ne faut pas laisser le cheval dans le vide devant l'obstacle

Pourquoi pas ? Enfin, pour moi sauter rênes longues est un bon exercice pour apprendre au cheval à se tenir, à se pas charger devant l'obstacle :)
Après, je ne parle que de petites hauteurs, pas assez calée pour parler de plus haut, ni moi ni mon cheval avons le niveau !

Mais pourquoi ton cheval serait dans le vide si tu tends pas tes rênes ? Il n'a pas besoin de toi ton cheval pour se tenir ^^

T'as pas lu le reste toi Jumpy. Pas besoin d'une rêne tendue pour avoir une présence dans sa bouche et ne pas le laisser dans le vide Démonstration par votre serviteur :



Je n'ai qu'une seule rêne dans les mains... les rênes détendue... Et pourtant.................. il est vachement dans le vide le cheval hein.

Ou encore mieux, lingot à l'obstacle :


Le cheval est vachement dans le vide.

Pour preuve, le saut est "totalement pourri" (ironie) :