|  | En fait, le mors ne doit pas être utilisé comme un moyen de contrôle par la contrainte.
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Mon ancienne jument, Fée, trotteuse réformée, très bien en simple licol en carrière
- dehors je l'aurais jamais montée sans mors, les grands espaces lui montaient à la tête. |
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J'avoue ne pas trop comprendre car ces deux parties ne sont pas logiques entre elles.
Si on suit ton exemple de Fée, c'est que tu n'avais le contrôle sur elle que par le mors en extérieur ? Or avoir le contrôle avec un mors dans une bouche, ça reste une contrainte, non ?
Donc malgré toi, tu utilisais le mors comme moyen de contrôle si je comprends bien.
Bon, c'est pas un jugement parce que je connais ça ^^" un SFxTF que je montais en balade, en mors, un jour il a pris peur et n'a JAMAIS voulu s'arrêter. J'ai fait tout ce qui était en mon pouvoir, j'ai jamais réussi à lui faire entendre raison...
On est passé à pleine balle à travers une départementale, heureusement qu'elle n'était pas trop fréquentée à cet instant sinon je ne serais sans doute pas là pour en parler, ou alors j'aurais la mort d'un cheval sur la conscience...
Mais depuis cette aventure, je reste à me dire que le cheval qui veut partir, tu peux lui coller une lame de rasoir dans la tronche, il te tractera à travers les nationales s'il le veut sans que tu puisses rien faire.
Donc je ne vois même plus le mors comme "sécurité d'extérieur", puisque qui dit "sécurité" dit "contrainte punitive" (tu embarques, j'utilise la sensibilité de ta bouche pour tenter de t'arrêter en espérant que ça marchera).
Le mors reste pour moi, au contraire, l'outil de la carrière, pour travailler le Dressage.
Mais bon, on agit tous avec notre expérience... mais depuis cette route traversée à toute allure, je ne veux même plus tenir un mors entre mes mains. Il n'a plus rien de sécuritaire à mes yeux :/